Youssef Boussoumah:

Pendant qu’en Palestine, les troupes sionistes massacrent et terrorisent, en France, la LDJ attaque les militants anti racistes et propalestiniens. Avec de la peinture aujourd’hui, mais demain avec de l’acide, voire des balles puisque personne au gouvernement n’ose rien refuser à ces groupes violents, enfants gâtés issus du mariage naturel entre la république française néocoloniale et le sionisme.

Imaginons une seule seconde qu’un indigène verse de la peinture rouge sur la tête de Richard Prasquier ou sur celle de Sammy Gozlan qui ne manquent pas une occasion, via leurs réseaux dans la police, de faire relâcher les militants sionistes extrémistes lorsque par hasard ils sont interpellés après une action violente.

Nous le constatons, pour dix fois moins que ça des groupes musulmans comme Forsane al Hiza, n’ayant pourtant commis absolument aucune violence, ont été arrêtés et dissous. Nous sommes encore une fois au prises avec le double standard.

Si la LDJ continue à jouir de la formidable impunité historique dont elle a toujours bénéficié, les musulmans devront demain, pour pouvoir continuer à assurer leur solidarité avec la Palestine et dénoncer l’islamophobie de la LDJ, organiser eux mêmes leur autodéfense.

Que se passera t-il le jour où il y aura un mort ? Le gouvernement si laxiste avec les agresseurs sionistes devra alors totalement assumer les conséquences de ce qui s’apparentera à un violent conflit aux débordements évidents. Loin de redouter ce conflit, des groupes comme la LDJ le souhaitent ardemment puisque cela permettra de justifier leur propagande en faveur de l’émigration/colonisation vers la Palestine, des juifs de France.

Les véritables responsables de la violence des groupes sionistes comme la LDJ sont les autorités françaises, policières, judiciaires et politiques. Aujourd’hui le gouvernement Hollande / Taubira.
L’action politique résolue et la plus large peut seule nous permettre de nous débarrasser des ces groupes sionistes violents tout en assurant notre protection. Pour peu que chacun réponde présent lorsque les initiatives en proposition seront rendues publiques.