Pour Washington, Londres et Paris, l’emploi d’armes chimiques par les troupes loyalistes contre des civils ou des combattants rebelles imposerait une rupture dans la régulation de la crise syrienne. Cette ligne rouge, affirmée depuis des mois, aurait été franchie mercredi 21 août lors de bombardements de quartiers insurgés de Damas. On évoque en effet l’emploi de gaz neurotoxiques. Dans ces conditions, les occidentaux s’apprêtent à une intervention militaire, même limitée à la neutralisation de centres du pouvoir en place. Est-ce bien raisonnable ? Sur quel fondement, moral sinon légal, une telle entreprise pourrait-elle se raccrocher ? A l’examen, cette opération extérieure apparaît contraire au droit international, discutable dans son éthique et plus qu’incertaine dans ses effets.
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