Dieudonné n’a pas choisi par hasard le mot quenelle.

Sans juger de la « pertinence » du geste, il aurait pu choisir le boudin antillais, lui qui se dit opposé aux békés. Il avait aussi l’option anti-coloniale et, plus brutale, d’y aller à la racine de manioc en référence à ses origines camerounaises.
Son option est allée vers la quenelle, un produit “blanc”, de consistance molle et à connotation franchouillarde. Ce choix  n’est pas fortuit.

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