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1 décembre 2021La salle du FEC (Foyer de l’Etudiant catholique), très accueillante pour des réunions politiques diverses, était bourrée dès avant 20 h. Il a fallu rajouter des chaises et, malgré cela, des dizaines de jeunes, qui constituaient l’essentiel du public, sont restés debout au fond et même dans l’antichambre après la montée de l’escalier. A la […]
Brigitte et Emmanuel
19 février 202119 novembre: Journée transgenre internationale
17 novembre 2017Trouvez ci-joint l’appel de Support Transgenre Strasbourg à l’occasion de la 19e Journée Internationale de la Mémoire Transgenre (TDoR) : rassemblons-nous le 19 novembre 2017 à 15 h place Kléber à Strasbourg. À noter : S’il vous plaît, n’apportez pas de grands sacs au rassemblement (requête de la police). ********************************************************************** – Please find enclosed Support […]
Passionnant:
“Le débat français est une répétition grotesque de ce qui s’est passé au Royaume-Uni il y a quelques années. En France comme au Royaume-Uni, un groupe de politiciens «progressistes», et d’ONG de «féministes radicales» distordent volontairement la réalité et présentent toutes les travailleuses sexuelles migrantes comme victimes de la traite. C’est une fiction politisée et moralisatrice sur la base de laquelle les travailleuses sexuelles, françaises et migrantes, vont devenir plus vulnérable à l’exploitation, aux maladies sexuellement transmissibles, aux violences et à la traite. Ce sont des faits, purement et simplement. Tout politicien ou association qui défend la pénalisation de la prostitution adopte une position agressive plutôt que progressive à l’égard des travailleuses sexuelles. Les abolitionnistes veulent abolir l’industrie du sexe, peu importe le prix en termes de vies humaines. Leur croisade dogmatique n’est pas en lien avec les expériences vécues et les besoins des personnes qu’elles prétendent vouloir aider. Ce qu’on peut penser de la prostitution en termes moraux ou politiques ne devrait pas importer si nous avons les intérêts des travailleuses sexuelles à cœur. Ce qui importe est de minimiser les risques, nombreux, associés au travail du sexe. Et le seul moyen, réclamé encore et encore par toutes les travailleuses du sexe à travers le monde, c’est la décriminalisation. Pourquoi ne pas les écouter?