Et pour quelle guerre…?

10897781_1043262462357157_6733478398735108693_n

Une morale française à 2 balles !

Pour Hollande et la classe politique de ce pays, le peuple égyptien vaut moins que 24 avions Rafales.
Le dictateur Sissi bourreau du peuple égyptien devient un ami de la France parce qu’il donne du travail à ses industries de guerre.

Peu importe qu’il ait usurpé son pouvoir et qu’il l’assoit désormais sur des monceaux de cadavres, peu importe que des milliers d’Égyptiens croupissent dans les camps de prisonniers ouverts après son coup d’Etat..

Le plus cocasse c’est qu’au final comme l’Egypte de Sissi ne sera pas solvable, c’est l’Etat français, c’est à dire nous, par nos impôts, qui devront payer la note puisque Paris s’est porté garant pour l’Egypte auprès des banques.

D’ailleurs au passage, merci aux peuples sur lesquels, à leur corps défendant, “ce bijou de technologie” mortifère a été expérimenté . Car comme le dit sans état d’âme la presse aussi bien écrite que télévisée, “cet avion a largement démontré ses qualités en Afghanistan, Libye, Mali et Irak”. Bien entendu il ne se trouve pas une voix en France pour dénoncer cette honte nationale ! Ni le PCF, ni les Verts, ni le PG !

Voilà sans doute la 1ere leçon de morale de l’après Charlie qu’Hollande veut offrir à une jeunesse de France selon lui en manque de repères et à qui il veut redonner son sens civique: un président de la République, au final n’est qu’un simple VRP des multinationales de vente d’engins de guerre.
Nous le savions mais rarement cela aura été exposé avec autant de cynisme !

Deux siècles de démocratie et 2 millénaires de civilisation occidentale pour en arriver là, c’est enthousiasmant, non ?!!

Youssef Boussoumah (membre du PIR)

Vente de Rafale à l’Egypte : l’hypocrisie française prend de l’altitude

EELV accueille avec de grandes réserves l’annonce de la vente de 24 Rafales, d’une frégate et de missiles à l’Egypte.

Les écologistes regrettent les discours d’auto-satisfaction et l’unanimisme aveugle de la classe politique. Pour Sandrine Rousseau  » le Rafale est au final un coût hallucinant pour la France, ce n’est pas la vente à l’Égypte qui changera radicalement l’ampleur du fiasco »

Les écologistes dénoncent par ailleurs la livraison d’armes de guerre à une dictature militaire dont les violations faites aux droits de l’homme ou les tirs à balles réelles sur des manifestants sont actuellement légions.  »Lorsque l’argent parle, la France se tait » assène Julien Bayou.

La dépense par l’Egypte de 5 milliards de dollars alors que la très grande majorité des habitants vivent dans des conditions de grande précarité paraît déplacée. Il y avait sûrement d’autres priorités.

Loin de participer à la sécurité d’une région instable, cette vente vient donc une nouvelle fois ternir l’image de la France, pays des lumières et des droits de l’hommes qui vient renier en rase campagne ses principes et ses valeurs inaliénables pour quelques considérations pécuniaires.

Les écologistes appellent à la reconversion du secteur de l’armement au niveau européen et appelle la France à l’exemplarité en cessant toute vente d’armes aux pays en guerre ou violant les droits de l’homme.

Julien Bayou et Sandrine Rousseau, porte-parole nationaux 

http://eelv.fr/2015/02/13/vente-de-rafale-a-legypte-lhypocrisie-francaise-prend-de-laltitude/

Égypte Solidarité

Cette déclaration de solidarité avec le peuple égyptien a été initiée par des personnalités et militants associatifs de l’émigration en Europe, ainsi que des pays du Maghreb. Elle a été rédigée quelques jours après la répression qui s’est exercée contre les manifestant(e)s commémorant le quatrième anniversaire de la chute de Moubarak, le 25 janvier 2015.

Elle ne fait pas état de la condamnation à la prison à vie par un tribunal du Caire, le 4 février 2015, d’Ahmed Douma, une des figures emblématiques du soulèvement égyptien, et de 229 autres militants co-accusés. Bien entendu, les initiateurs de cette déclaration dénoncent avec vigueur ce procès inique.

  


 

Il n’y aura pas d’élections libres en Égypte tant que les autorités continuent à réprimer les libertés collectives et individuelles

 

Les  acteurs de la société civile, les organisations civiques, les syndicats autonomes, les opposants au pouvoir militaire – à quelque bord qu’ils appartiennent, séculier ou islamiste –, y compris les jeunes qui ont mené l’insurrection de la liberté et mis fin au régime de Hosni Moubarak, sont aujourd’hui persécutés en Egypte. Le nouveau pouvoir multiplie les atteintes aux droits et les parodies de justice.

Le travail associatif est paralysé en raison des persécutions judiciaires. Les militants associatifs et politiques font l’objet de menaces de toutes sortes, et sont empêchés de quitter le pays…

Les manifestations commémorant le quatrième anniversaire de la chute de Moubarak ont été réprimées dans le sang. Le samedi 24 janvier 2015, Shayma’a Sabbagh, militante de gauche, a été tuée alors qu’elle venait déposer des fleurs sur la Place Tahrir, en mémoire des martyrs de la révolution. Le lendemain, 25 janvier 2015, la violence est montée d’un cran : une quinzaine de personnes dont 13 manifestants ont été tuées.

Pour toutes ces raisons, nous, signataires de la présente pétition, personnes physiques et morales, militants associatifs ou politiques, réclamons qu’une enquête indépendante et impartiale soit faite sur les événements des 24 et 25 janvier 2015, et demandons aux autorités égyptiennes de mettre fin à ces exactions, de libérer tous les prisonniers d’opinion et les journalistes afin d’instaurer un climat propice à des élections législatives démocratiques et transparentes.

Nous saluons, à cet égard, les organismes internationaux qui ont refusé de figurer comme observateurs de l’opération électorale dans un climat de répression sécuritaire et judiciaire.

Nous appelons les instances internationales, les pays démocratiques, ainsi que les tribunes de la société civile de par le monde, à se tenir aux côtés du peuple égyptien et à soutenir les militants politiques et associatifs dans leur lutte pour la liberté, la justice, l’Etat de droit et la démocratie.

Pour signer cet appel : egypte.demo.sol@gmail.com

Premiers signataires :

Ahmed Abbes, directeur de recherches CNRS, France ; Said Abdeddaïm, universitaire, Algérie ; Fouad Abdelmoumni, économiste, militant des droits de l’homme, Maroc ; Souad Abdelmoumni, Maroc ; Hichem Abdessamad, traducteur, militant associatif, Tunisie ; Khaled Abichou, militant politique et associatif, France ; Hakim Addad, militant associatif, Algérie ; Lhaouari Addi, sociologue, Algérie ; Abderrahim Afarki, bibliothécaire, France ; Hafedh Affes, enseignant, président de l’ATNF, France ; Ayad Ahram, président de l’ASDHOM, Maroc ; Nadia Leïla Aissaoui, sociologue , Algérie ; Larbi Ajjoul, ancien ministre, Maroc ; Najib Akesbi, historien, Maroc ; Hala Alabdalla, cinéaste , Syrie ; Mourad Allal, militant associatif, France ; Tewfik Allal, coordinateur du Manifeste des libertés, France ; Abdelkerim Allegui, universitaire, militant des droits de l’homme, Tunisie ; Ali Anouzla, journaliste, Maroc ; Khadija Arfaoui, freelance feminist researcher and activist ; Nadia Assimi-Mechbal, enseignante, France ; Sylvie Ave, militante féministe, France ; Nejib Ayari, directeur de société, Tunisie; Salem Ayari, président UDC, Tunisie ; Habib Ayeb, géographe, Tunisie ; Boualem Azahoum, universitaire, militant associatif, France ; Brigitte Azema-Peyret, avocat honoraire, France ;

Alessandra Bajec, journaliste, Grande-Bretagne ; Fabrizio Bajec, écrivain, France ; Lucien Bajec, retraité, Italie ; Etienne Balibar, professeur émérite, France ; Paul Balta, journaliste, France ; Abdellatif Baltagi, consultant, Tunisie ; Brigitte Bardet-Allal, professeur de lettres, France; Houcine Bardi, avocat, militant associatif, Tunisie ; Sami Bargaoui, universitaire, Tunisie ; Amine Barkallah, activiste (Association Sawty « Sawt chabeb tounes »), Tunisie ; Alain Baron, syndicaliste, France ; Yann Barte, journaliste, France ; Geneviève Baurand, médecin, France ; Abdeljalil Bedoui, économiste et militant associatif, Tunisie ; Georges Beisson, France ; Souâd Belhaddad, journaliste et auteur, France ; Ahlem Belhadj, pédopsychiatre, militante féministe, Tunisie ; Souhayr Belhassen, présidente d’honneur de la FIDH, Tunisie ; Yassir Belhiba, président du Centre d’études pour l’instruction personnelle, Maroc ; Akram Belkaïd, journaliste et chroniqueur, Algérie ; Farouk Belkeddar, militant associatif, Algérie ; Mohamed Belmaïzi, écrivain, Belgique ; Ali Benameur, universitaire, militant associatif, France ; Nadia Ben Ameur, professeur des écoles, France ; Sana Ben Achour, juriste, présidente de l’association Beity, Tunisie ; Nabil Ben Azzouz, enseignant, militant associatif, Tunisie ; Ghaleb Bencheikh, écrivain, France ; Majid Benchikh, professeur émérite, ancien doyen de la Faculté de droit d’Alger, Algérie ; Kmar Bendana, universitaire, Tunisie ; Hachmi Ben Frej, militant associatif, Tunisie ; Nozha Ben Frej, présidente de l’Observatoire international des droits de l’homme, Tunisie ; Abdelwahed Ben Hamida, enseignant-chercheur, France ; Tarek Benhiba, conseiller régional, militant de l’immigration et des droits de l’homme, France ; Monia Ben Jemia, universitaire, Tunisie ; Riadh Benkhelifa, historien, universitaire, Tunisie ; Jaouhar Ben Mbarek, président du Réseau Doustourna, professeur de droit, Tunisie ; Dalila Ben Mbarek-M’sadek, avocate et militante associative, Tunisie ; Sadok Ben Mhenni, militant associatif, Tunisie ; Sarra Ben Miloud-Abichou, enseignante, France ; Hatem Ben Romdhane, Tunisie ; Ali Bensaad, géographe, Algérie ; Abdellatif Bensaghir, technicien, Maroc ; Mohamed Bensaïd, médecin, militant associatif, France ; Zeineb Bensaïd-Cherni, professeur de philosophie, présidente de l’ATP-AEMP, Tunisie ; Fethi Benslama, psychanalyste, professeur d’Université, Tunisie ; Zouheir Ben Youssef, universitaire, vice-président de la LTDH, Tunisie ; Rachid Benzine, chercheur islamologue, Maroc ; Sophie Bessis, historienne, Tunisie ; Néji Bghouri, président du Syndicat des journalistes tunisiens ; Mohamed Bhar, artiste musicien, Tunisie ; Alain Billon, ancien député, responsable Maghreb-Machrek du Parti de Gauche, France ; Michel Bontemps, militant associatif, France ; Amina Bouayech, secrétaire générale de la Fédération internationale des droits humains (FIDH), Maroc ; Abderrazek Horchani Bouazizi, militant associatif, Tunisie ; Nedra Boukesra, journaliste, Tunisie ; Ali Bousselmi, militant associatif, Tunisie ; Mongi Boughzala, universitaire, Tunisie ; Ahmed Brahim, ancien député de l’ANC, Tunisie ; Karima Brini, présidente de l’association Femme et Citoyenne, Tunisie ; Didier Brisebourg, militant ATTAC, France ; Rony Brauman, ancien président de Médecins sans frontières, France ; Frédéric Brun, militant politique, France ;

Dominique Cabrera, cinéaste, France ; Nadia Chaabane, ancienne députée de l’ANC, Tunisie ; Jean-Paul Chagnollaud, professeur des universités, France ; Nabil Challal, militant associatif, Algérie ; Khémaies Chammari, ancien ambassadeur, Tunisie ; Taoufik Chammari, militant associatif, Tunisie ; Radhouan Chandoul, militant politique, France ; Marie-Claude Chantrel, France ; Mounira Chapoutot-Remadi, universitaire, Tunisie ; Vincent Charbonnier, syndicaliste, universitaire, France ; Faouzia Charfi, physicienne, Tunisie ; Christine Charretton, mathématicien, France ; Hejer Chehbi-Habchi, Institut arabe des droits de l’Homme, Tunisie ; Malik Cheklalia, journaliste, Algérie ; Monique Chemelier-Gendreau, professeur émérite, France ; Patrick Chemla, psychiatre et psychanalyste, France ; Hédi Chenchabi, militant associatif, Tunisie ; Mouhieddine Cherbib, militant associatif, France ; Khadija Cherif, universitaire, secrétaire générale adjointe de la FIDH, Tunisie ; Alya Cherif-Chammari, avocate, militante féministe, Tunisie ; Alice Cherki, psychanalyste, France ; Lina Chocteau, France ; François Collin, retraité, France ; Sarah Colin-Boccra, psychiatre de service public, France ; Philippe Corcuff, universitaire, France ; Madelaine Cottin, militante Raja-Ti-kva (Association amitié arabo-juive), France ;

Ahmed Dahmani, universitaire, Algérie ; Jocelyne Dakhlia, universitaire, France ; Samira Dami, journaliste, Tunisie ; Sonia Dayan-Herzbrun, sociologue, professeur émérite, France ; Michèle Dayras, médecin, présidente de SOS Sexisme, France ; Mahrez Debbich, responsable de formation permanente, France ; Marie-France Desbruyeres, militante associative, France ; Nacer Djabi, sociologue, Algérie ; Bernard Dreano, responsable d’associations de solidarité internationale, France ; Mohsen Dridi, militant associatif, Tunisie ; Patrice Dubosc, documentaliste, France ; Bernard Duterme, directeur du CETRI, France ; Nassira Dutour, porte-parole du Collectif des familles des disparu(e)s en Algérie (CFDA);

Mohamed El Achari, poète et écrivain, Tunisie ; Aïda Elamri, militante associative, radiologue, France ; Asmahan Elbatraoui, traductrice, France ; Nadia El Fani, cinéaste, Tunisie ; FethiElhadjali, militant associatif des Dh (Atgdh), Maroc ; Abdennacer El Idrissi, président du Réseau Euromed-France (REF) ; Driss Elkherchi, président de l’Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF) ; Mohamed-Lakhdar Ellala, président de l’Association des Tunisiens en France (ATF) ; Chedly Elloumi, militant associatif, France ; Didier Epsztajn, animateur du Blog « Entre les lignes, entre les mots », France ;

Patrick Farbiaz, militant de Sortir du colonialisme, France ; Jacques Fath, ancien responsable politique PCF, France ; Claudette Ferjani, enseignante, France ; Mohamed-Chérif Ferjani, universitaire, France ;

Salah Gaiess, PhD biotechnologie, Tunisie ; Ahmed Galai, membre du comité directeur de la LTDH, Tunisie ; René Galissot, historien, France ; François Gèze, éditeur, France ; Mansour Ghaki, historien, Tunisie ; Jean-Claude Gillet, professeur universitaire, France ; Françoise Girard, militante associative, France ; Jérôme Gleize, conseiller de Paris, France ; Solenn Gouasdoue, professeur de lettres, France ; Nathalie Goulet, sénatrice de l’Orme, France ; Jean-Guy Greilsamer, co-président de l’Union juive française pour la paix (UJFP), France ; Moncef Guedouar, président de la FTCR, France ; Zeineb Ghehiss, militante féministe et des droits humains, Tunisie ; Saloua Guiga, Tunisie ; Habib Guiza, secrétaire général de la CGTT, Tunisie ;

Youssef Habache, militant associatif, Palestine ; Salah Hachem, président de l’Observatoire des prisons, Tunisie ; Mohammed Hachemaoui, politologue, Algérie ; Bachir Hadjadj, militant associatif, France ; Riad Hadji, correspondant de presse, Algérie ; Mohamed-Anouar Haidour, Espagne ; Sofia Hammami, militante associative, Tunisie ; Najiba Harouni, journaliste et militante associative,  Tunisie ; Chaker Hamzaoui, ingénieur, Tunisie ; Mohammed Harbi, historien, Algérie ; AbdelhamidHenia, professeur émérite, Tunisie ; Ahmed Henni, économiste, Algérie ; Juan Carlos Hernandez, photographe, France ; Abdelhamid Hihi, médecin, France ; Fathia Hizem, militante féministe, Tunisie ; Salah Horchani, universitaire, Tunisie ; Anne Huck, France ; Georges Hugot, retraité de l’Université, France ;

Fouad Imarraine, militant associatif, France ;

Anne Joubert, militante associative, France ;

Fatiha Kadi, France ; Aissa Kadri, sociologue, France ; Salaheddin Kamoun, cadre administratif, Tunisie ; Najet Karaborni, présidente de l’OAEC, Tunisie ; Salam Kawkibi, politologue, Syrie ; Saifallah Khablachi, syndicaliste, France ; Abdelhamid Khairi, président de l’association “Tunisie Terre des hommes” ; Pierre Khalfa, co-président de la Fondation Copernic, France ; Habib Khazdagli, historien, doyen de la Faculté des lettres de Manouba, Tunisie ; Besma Khelfaoui, avocate, présidente de la Fondation Chokri-Belaïd contre la violence, Tunisie ; Mohamed Khenissi, militant associatif, Tunisie ; Ahmed Kikich, militant associatif, Maroc ; Robert Kissous, militant associatif, France ; Abderrazak Kitar, militant associatif, France ; Christiane Klapisch-Zuber, France ; Salsabil Klibi, enseignante-chercheur, Tunisie ; Aziz Krichen, ancien ministre-conseiller, Tunisie ;

Abdellatif Laabi, écrivain, Maroc ; Kamel Labidi, journaliste, Tunisie ; Kamel Lahbib, président de l’Observatoire marocain des libertés publiques, Maroc ; Abdol-Karim Lahidji, président de la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH) ; Annie Lahmer, membre de secrétariat EELV, France ; Hosni Lahmer, Association Médecins de la Paix, Tunisie ; Pierre-Yves Lambert, chercheur, Belgique ; Pierre Laurent, secrétaire général du Pari communiste français, France ; Erick Leconte, France ; Patrick Le Hyaric, directeur de « l’Humanité », député européen, France ; Gilles Lemaire, écologiste altermondialiste, France ; Renée Le Mignot, co-présidente du MRAP, France ; Nathalie Lichtensztein-Combase, retraitée de l’enseignement, France ; Adel Ltifi, historien, France ;

Mohamed Maali, journaliste écrivain, Tunisie ; Mongi Maati, Freedom Now-Marocco ; Insaf Machta, universitaire, Tunisie ; Marcel Magnon, enseignant retraité, France ; Christian Mahieux, syndicaliste, France ; Ziad Majed, politologue, Liban ; Jean Malifaud, militant SNESUP-FSU–Ensemble, France ; GillesManceron, historien, France ; Mohamed Mansar, militant associatif, résident du CICFM, Tunisie ; Emmanuel Marcet, dessinateur projeteur, France ; Farouk Mardam-Bey, écrivain, Syrie ; Mohamed-Habib Marsit, universitaire, militant associatif, Tunisie ; Jean-François Marx, cadre retraité, militant associatif, France ; Gustavo Massiah, économiste, ancien président du CRID, France ; Jalel Matri, militant associatif, Suisse ; Pascal Maugis, chercheur, France ; Claude Mawas, chercheur INSERM, France ; Belkiss Mechri, membre du comité directeur de la LTDH, Tunisie ; Habib Mellakh, universitaire, SG de l’Association tunisienne de défense des valeurs universitaires, Tunisie ; Mounir Merdassi, président de l’association MEN, Tunisie ; Karim Messaoudi, militant associatif, France ; Francine Mestrum, Global Social Juste, Belgique ; Umit Metin, militant associatif (ACORTurquie) ; Gilbert Meynier, historien, France ; Ali Mezghani, professeur de droit, Tunisie ; Gabriel Mifsud, retraité, France ; Zied Miled, avocat, Tunisie ; Najet Mizouni, universitaire, France ; Anouar Moalla, consultant, universitaire, Tunisie ; Mohamed-Ali Mouelhi, militant des droits de l’homme, Tunisie ;

Jean-Luc Nancy, philosophe, France ; Mireille Nathan-Murat, militante associative, France ; Christiane Noisette, professeur honoraire, France ; Daniel Noisette, professeur honoraire, France ;

Ismaïl Omrane, président de l’association Développement et progrès, Tunisie ; Paul Oriol, militant associatif, France ; MoncefOuaghlani, administrateur financier, Tunisie ; Béchir Ouarda, journaliste, Tunisie ; Habib Ouarda, libraire, France ; SalahOudahar, écrivain, Algérie ; Hayet Ouertani, psychologue, militante féministe, Tunisie ; Ramzi Oueslati, président de l’association ACDR, France ; Sahbi Ouhaibi, architecte, Tunisie ; Lahcen Oumoulid, enseignant, Maroc ;

Geneviève Petauton, présidente du COPAF, France ; SylviePillon, France ; Michel Plon, psychanalyste, France ; Lise Poirier-Courbet, psychosociologue, France ;

Luc Quinton, plasticien-colleur d’histoires, France ;

Saïda Rached, présidente de l’ATFD, Tunisie ; Lazhar Rachdi, étudiant, Tunisie ; Malika Rahal, historienne, Algérie ; MimounRahmouni, militant ATTAC, Maroc ; Joan Raiola, magasinier Bibliothèque universitaire, France ; Bernard Ravenel, historien, ancien président de la Plateforme des ONG pour la Palestine, France ; Philippe Revault, architecte urbaniste, France ; Salaheddine Rhaïem, militant associatif, Tunisie ; Jean-PaulRicoeur, psychanalyste, France ; Daniel Rivet, professeur émérite, France ; Nicole Roger, France ; Barbara Romagnan, députée socialiste, France ; Messaoud Romdhani, enseignant, vice-président de la Ligue tunisienne des droits de l’homme (LTDH) ; Ivan Rubinstein, maquettiste, France ;

Lana Sadek, militante associative, Palestine ; Nordine Saïdi, militant associatif, Belgique ; Hassen Salama, universitaire, Italie ; Lydia Samarbakhsh, chargée des relations internationales au CN du PCF, France ; Marie-Claude San Juan, blogwriter, France ; Rabeh Saoudi, France ; Blandine Savetier, metteur en scène, France ; Brahim Senouci, universitaire, écrivain, chroniqueur, Algérie ; Anne Sophie Shaffer, responsable associative, France ; Khalil Sidki, membre d’ATTAC, Maroc ; Mehdi Sifaoui, militant associatif, Tunisie ; Marie-Claude Slick, journaliste, France ; Kamal Smari, journaliste et militant associatif, Tunisie ; Mohamed Smida, militant associatif, Tunisie ; Mohamed-Taher Smiri, président de l’association Ness el-khir, Tunisie ; Pierre Stambul, co-président de l’Union juive française pour la paix (UJFP), France ; Orphée Stephan, sympathisante Front de Gauche, France ; Benjamin Stora, universitaire, France ;

Ahmed Tababi, Tunisie ; Habib Tajouri, Tunisie ; Khaoula Taleb-Ibrahimi, linguiste, Algérie ; Wassyla Tamzali, avocate, écrivaine, Algérie ; Giovanna Tanzarella, militante associative, France ; Rachid Tarik, journaliste, Maroc ; Nadia Tazi, philosophe, Maroc ; Yassine Temlali, journaliste, Algérie ; Emmanuel Terray, anthropologue, France ; Yamina Thabet, présidente de l’ATSM, Tunisie ; Mohamed Trabelsi, syndicaliste, Tunisie ; Mokhtar Trifi, ancien président de la Ligue tunisienne des droits de l’homme (LTDH), Tunisie ; Nelly Trumel, militante féministe, France ; Michel Tubiana, avocat, président du Réseau euro-méditerranéen des droits de l’homme (REMDH), France ;

Lucette Valensi, historienne, France ; Robert Veysset, professeur retraité, France ;

Hassane Zarrouky, journaliste à « L’Humanité », France ; AbdallahZniber, militant associatif, Maroc ; Yamina Zoghlami, ancienne députée de l’ANC, Tunisie ; Faïza Zouaoui-Skandrani, militante associative, Tunisie ; Zein-Edine Zouaoui, ingénieur, France.

Associations et organisations

AIDDA – France
Arts et Cultures des deux rives (ACDR) – France
Assemblée des citoyens originaires de Turquie (ACORT) – France
Assemblée européenne des citoyens – Réseau Helsinki Citzen’s Assembly International (AEC/HCA)
Association Amitié arabo-juive (Raja-Ti-kva) – France
Association de défense  des Droits de l’Homme au Maroc (ASDHOM)
Association des travailleurs maghrébins en France (ATMF)
Association des Tunisiens du Nord de la France (ATNF)
Association des Tunisiens en France (ATF)
Association des Voix d’Eve (EVA) – Tunisie
Association du Manifeste des libertés
Association Egalité et Parité – Tunisie
Association Femme et Citoyenne (AFC) – Tunisie
Association marocaine des droits humains-Paris Ile de France (AMDH/PIF)
Association Mawjoudin We Exist – Tunisie
Association Médecins de la Paix (AMP) – Tunisie
Association MEN d’assistance des orphelins et des sans-soutien (Sfax) -Tunisie
Association tunisienne de soutien aux minorités (ATSM)
Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD) – Tunisie
Association tunisienne Perspectives-Amel Ettounsi Mémoires et perspectives (ATP-AEMP)
Association tunisienne pour la démocratie participative (ACDP) – Tunisie
ATTAC/CADATM – Maroc
Bruxelles Panthères – Belgique
CADATM – Afrique
Cédétim /IPAM (Initiative pour une autre monde) – France
Centre de Tunis pour la liberté de la presse – Tunisie
Centre interculturel formation migration (CICFM) Rhône-Alpes Bourgogne – France
Collectif 3 C – France
Collectif algérien en France ACDA (Agir pour le changement et le démocratie en Algérie)
Collectif Article 13 – Tunisie
Collectif Démocratie et Modernité – Maroc
Comité de vigilance pour la démocratie en Tunisie – Belgique
Comité pour l’annulation de la dette du tiers-monde (CADATM International)
Comité pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT)
Fédération des Tunisiens citoyens des deux rives (FTCR) – France
Fédération euro-méditerranéenne contre les disparitions forcées (FEMDF)
Forum des Alternatives Maroc (FMAS)
Forum Palestine Citoyenneté – France
Intégration 21 : Initiative de Nécessité Egalitaire XXI° siècle
L’Observatoire des prisons – Tunisie
L’Observatoire international des droits de l’homme – Tunisie
L’Observatoire marocain des libertés publiques – Maroc
L’Union des diplômés chômeurs (UDC) – Tunisie
Lam Echaml, réseau d’associations – Tunisie
Ligue tunisienne pour la défense des droits de l’homme (LTDH)
Manifeste des libertés – France
Mouvement citoyen Palestine – Belgique
Mouvement contre le racisme et l’amitié entre les peuples (MRAP) – France
Organisation Apposition et Engagement civique (OAEC) – Tunisie
Reseau Destourna – Tunisie
Réseau Euromed France (REF)
Réseau euro-méditerranéen des droits de l’homme (REMDH)
Sortir du colonialisme – France
Syndicat des journalistes tunisiens (SJT)
Union syndicale Solidaires – France

http://blogs.mediapart.fr/blog/manifeste-des-libertes/110215/egypte-solidarite