« Le 12 juillet, un coup d’Etat a été fait par Bruxelles, qui prouve que le but des Européens était de supprimer à titre d’exemple la parole d’un peuple qui avait osé envisager une autre voie que celle de l’extrême austérité proposée par le modèle néolibéral. » Syrisa
Une petite centaine de personnes rassemblées place Kléber à Strasbourg en solidarité avec le peuple grec étranglé par les banques et les eurocrates à leur service.
Ne laissons pas le peuple grec seul face à cette nouvelle dictature des colonels en complet-veston!
Si les Grecs sont écrasés par le bulldozer du néo-libéralisme, tous les peuples y passeront demain.
Les militants, des députés, des ministres de Syrisa maintiennent leur OXI/NON à la dictature financière. Déjà ce soir devant la Vouli, le Parlement grec, des heurts ont lieu entre policiers et manifestants à l’issue de cette journée de grève générale.
Alors, vive la solidarité internationale des peuples.
Nouveau véhicule d’été de la police municipale : austérité ou nouvelle planque ?
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Pendant ce temps à Athènes…
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