Alors que sa commune serait très impactée par l’éventuelle réalisation du Grand Contournement Ouest, le maire de Vendenheim persiste et signe dans l’acceptation du projet au lendemain d’un référendum où la majorité des votants s’était pourtant prononcée très majoritairement contre le GCO.

Il annonce aux Fédinois qu’il va poursuivre les “négociations” avec Vinci (Socos-ArcoS).

Alors que le Conseil national de l’environnement multiplie les critiques, le maire passe en force et prévoit le vote du Conseil municipal le 5 mars.

Il déclare, selon les DNA : “je ne peux pas laisser l’émotion décider”, opposant ainsi selon un stéréotype très usité que la raison serait du côté des pro GCO et l’émotion, les passions forcément déraisonnables du côté des opposants!

Il prétend avoir “obtenu des avancées” grâce à tel ou tel dispositif qui diminuerait le bruit du voisinage aux premières loges. Le million de m3 de terre, nécessaire aux travaux, -120000 rotations de camions-promis, juré ne passerait pas par le village.

Avec leur titre, “GCO: les négociations en passe d’aboutir”, le Journal a encore une fois l’art de se situer des institutions “raisonnables”…

Mais comme on dit, seules les batailles qu’on ne mène pas, sont perdues d’avance…

Alors, renforçons à Vendenheim comme ailleurs, le combat contre le Grand Contournement Ouest!