Une vidéo-interview de Gigi Loeffler et Dominique Steinberger

La ville de Strasbourg et la CUS organisent en ce moment, du 20 au 28 octobre, une semaine de lutte contre les discriminations.

Discriminer, c’est un délit”.

De nombreuses initiatives ont lieu, pour plusieurs publics, dans différents endroits, dont celui central de la salle de la Bourse.

Un témoignage poignant du racisme ordinaire à Strasbourg

Roms et tziganes pricipes européens réalités locales 6

Roms et tziganes pricipes européens réalités locales 7

Les interventions de la table ronde:

Roms et tziganes principes européens réalités locales 1
Roms et tziganes pricipes européens réalités locales 2
Roms et tziganes pricipes européens réalités locales 3
Roms et tziganes pricipes européens réalités locales 4
Roms et tziganes pricipes européens réalités locales 5

Ateliers la claque aux clichés

Le soir, une table ronde s’est déroulée, pour une fois, dans son expérience, autour de deux vraies tables rondes, comme l’a fait remarquer M. Costa, ex-président de la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

Participaient aussi Eleni Tsetsekou, du Conseil de l’Europe, Marie Amalfitano, de “Lupovino”, Ulrich Bohner, de MESA.
Dans le débat qui a suivi, est intervenue, peu convaincante dans ses réponses aux questions posées, dans le public, Marie-Dominique Dreyssé, adjointe aux questions sociales à la ville de Strasbourg.

Organiser une semaine contre les discriminations, c’est bien, mais pourquoi ne pas répondre à l’urgence pour les Roms menacés, à la demande de la Ville, d’expulsion des lieux sordides où ils survivent? Des actes plutôt que des discours!

Quand donc la Ville de Strasbourg va-t-elle enfin installer des prises d’eau, des WC, et des branchements d’électricité, en attendant de reloger les centaines de personnes réduites, avec de nombreux enfants, à des conditions de vie infra-humaines, seulement moins pires, à leurs dires, que dans leurs pays d’origine?