Un cas d’école qui sera demain enseigné aux consultants aux dents longues ? Quand la multinationale finlandaise UPM rachète la « Cellulose de Strasbourg » en 1988, les ouvriers de cette usine de production de pâte à papier sont plutôt confiants dans l’avenir. Mais ce rachat ne visait, pour le groupe UPM, qu’à s’implanter sur le territoire français, avec une garantie de pérennité du site de pâte seulement pour 10 ans. La « promesse » prend fin en 1998, avec l’annonce d’un premier plan social massif de 210 salariés, avant l’annonce d’une cession définitive du site en 2012. Retour sur le lessivage d’une usine rentable.

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