La marchandise sans les libertés, c’est la braderie à Strasbourg en état d’urgence. L’hypercentre entre les bras de l’Ill était sous haute surveillance, avec des camions de la ville barrant les ponts, des gendarmes, policiers nationaux et municipaux filtrant la population en faisant ouvrir les sacs. Bref, une nouvelle répétition grandeur nature d’un état de siège dont le gouvernement teste une fois de plus après Noël l’efficacité et qui pourra être mis à l’œuvre un jour contre les mobilisations sociales. Le Directeur départemental de la sécurité était sur le Pont Corbeau ce matin vers 11 h tandis que le commissaire cogneur de manifestants se promenait peu avant, son chien sur les bras rue de la Mésange (n’était-il pas en service?).

DSC04849

DSC04850

DSC04852

DSC04853

DSC04854

DSC04855

DSC04856

DSC04857

DSC04858

DSC04859

DSC04880

DSC04881

DSC04883

DSC04884

DSC04885

DSC04886

DSC04887

DSC04888

DSC04890

DSC04891

DSC04892

DSC04893

P1580346

P1580347

P1580348

P1580349

P1580352

P1580353

P1580356

Plusieurs policiers étaient armés de fusils d’assaut comme ici le long des rails du tram devant les Halles :

P1580357

P1580358

P1580359

P1580362

P1580363

La palme revient tout de même au Pont Saint Guillaume et sa barrière anti-émeute : on n’avait pas vu ça depuis le sommet de l’OTAN ! Aujourd’hui, ce dispositif testé en 2009 est mis en place pour la grande braderie de nos libertés…

P1580366

P1580367

P1580369

P1580370