La haine à l’état chimiquement pur…

Nous publions cet appel sioniste à la guerre et, pourquoi pas, à achever la Nakba, sans commentaire autre que le fait d’avoir mis en gras, le plus délirant.

Il est préférable de savoir quel genre de fous sont en face. Surtout armés de 200 têtes nucléaires!

Le 11 janvier, à Strasbourg, vous aurez l’occasion d’entendre Michel Warschavski, sur le thème:

ISRAËL AU BORD DU SUICIDE

à 20h à la Maison des Syndicats

1, rue Sédillot

Qu’un sang impur abreuve nos Sion” (sic)

Par Jacques KUPFER

Likoud France, fabricant d’antisémitisme?

A défaut d’agir à temps, l’état d’Israël et le peuple juif se trouvent confrontés à une grave initiative de la part de pays étrangers qui oublient leurs problèmes internes pour concentrer leurs efforts contre l’état juif. Ne parlons pas d’un lamentable Kouchner qui a réussi à concentrer sur sa personne l’hostilité juive ressentie pour un pauvre type, le mépris total des arabes pour ce dhimmi juif et l’opposition assurée de la classe politique de droite contre cet intrus de gauche et de la gauche pour ce renégat passé au service de la droite. Son dernier acte fut de conférer la légion d’honneur à un terroriste « palestinien » qu’il congratula lourdement. Belle épitaphe résumant sa carrière ministérielle!

Le Brésil, l’Argentine et quelques autres pays d’Amérique latine, dirigés par des gouvernements de gauche, ont reconnu un Etat « palestinien » virtuel.

Les efforts de la gauche israélienne ont donc réussi à faire croire au monde que le peuple « palestinien » existait et les arabes habitant la terre d’Erets Israël ont fini par croire eux-mêmes en leur existence nationale. Les manœuvres des Kouchner hors d’Israël et de nos traîtres intérieurs ont concouru à convaincre le monde entier que la solution à tous les problèmes, y compris le réchauffement de la planète, la sécheresse en Afrique, l’occupation du Tibet par la Chine et le problème des Tamouls au Sri Lanka, était dépendante du conflit israélo- »palestinien ».

Ne pas avoir eu le courage de dire la vérité nous a amené dans une inextricable situation politique. Nous sommes les pourvoyeurs pratiquement uniques des résolutions de l’ONU, des décisions de l’UNESCO et de toutes les conférences internationales.

Le bluff « palestinien »…

Désormais le bluff palestinien a pris corps et de nombreux pays reconnaîtront l’état de « Palestine ». Un 23ème état arabe manquait à l’équilibre du monde! Comment Israël doit-il réagir?

Une action diplomatique pour éviter la reconnaissance de cet état arabe terroriste par l’administration Obama et par les états européens soumis à la crainte des actions mafieuses arabes signifierait se mettre la tête sur le billot et attendre la hache occidentale!

Espérer éviter de futures reconnaissances occidentales nécessiterait d’accepter les exigences toujours plus dangereuses et payer pour chaque soutien éventuel un prix excessif. Nous serions soumis à un chantage permanent. Ne pas reprendre l’initiative politique signifierait condamner nos amis dans le monde, et ils sont nombreux, au silence, à l’immobilisme et à l’incapacité de défendre la politique israélienne.

Les délégués du dernier congrès du Fatah (« les modérés palestiniens ») sont revenus à leur habituel « non » du congrès de Khartoum. Non à Israël comme Etat juif, non à toute discussion territoriale hormis le retour d’Israël à ce que Abba Eban appelait les frontières « d’Auschwitz », non à toute discussion avant que les Juifs ne gèlent leurs constructions dans leur pays. Cette position modérée a été soutenue par Alliot-Marie et les régimes dhimmi occidentaux. Dans de telles conditions de la part des squatters arabes sur notre terre, comment peut réagir Israël?

La seule et unique solution consiste désormais à faire exploser la bulle « palestinienne » de manière définitive. Cela signifie supprimer toute possibilité de démantèlement de la Terre d’Israël et éliminer toute tentative de revendication sur notre territoire national. Nous devons mettre un terme à une politique qui nous pousse vers le gouffre de la totale « délégitimation » (sic !). Notre droit est imprescriptible sur le plan historique, religieux, légal. Il s’agit d’un droit que nous avons payé en prières, en sueur et en sang. L’alternative est soit le suicide soit une vigoureuse offensive politique et si nécessaire militaire.

Annexer…

Puisque nous n’avons pas et que nous n’avons en fait jamais eu de partenaire, déclarons « urbi et orbi » qu’il n’y aura pas de troisième état « palestinien ». La Jordanie est déjà peuplée de 80% d’arabes se déclarant « palestiniens » et occupe les trois quarts des territoires qui devaient revenir à l’Etat juif. La puissance mandataire britannique avait arraché au foyer national juif la deuxième rive du Jourdain pour la donner à un émir originaire du Hedjaz. Seul Jabotinsky et ses disciples s’étaient élevés contre cette amputation. Le deuxième état « palestinien » est le Hamastan dans la bande de Gaza concédée par Israël aux ennemis de notre Etat.

Israël doit annexer la Judée Samarie, étendre la loi israélienne sur les terres historiques de notre héritage territorial et laisser aux arabes qui y habitent le choix entre la nationalité jordanienne, le départ compensé ou le statut de résident respectueux des lois de l’état Juif.

L’annexion mettrait fin aux spéculations sur les frontières futures d’un éventuel état terroriste arabe et ne nous attirerait pas plus les foudres européennes et américaines qu’à l’heure actuelle. Elle avancerait de peu l’inévitable conflit militaire qui nous opposera aux ennemis et que toute personne lucide en Israël sait inévitable. Le Hezbollah que nous n’avons pas écrasé, s’est armé de plus de cinquante mille missiles pointés contre Israël. Le Hamas et ses Kassams, le Fatah et ses alliés arabes dans l’état d’Israël nous prédisent des moments difficiles. . Ce conflit nous opposera également à la Syrie et à ses alliés iraniens et à des velléités turques de nous agresser.

Il faudra alors ne pas voler la victoire de Tsahal et de notre peuple et ne pas accepter de cessez-le-feu avant la destruction définitive et totale de l’ennemi.

(la solution finale?)

Lorsqu’on tarde pendant des décennies à agir comme des sionistes conscients, il ne reste plus qu’à réagir en fonction des circonstances.

La seule solution pour notre avenir et celui de nos générations futures : établir la loi juive sur tout Erets Israël et si c’est indispensable « Qu’un sang impur abreuve notre Sion ! ».