Quiconque vit actuellement, ou se contente de suivre, les derniers développements en Grèce ne comprend que trop bien le sens d’expressions telles que « moments critiques », « climat de tension », « rupture dramatique », ou encore « situation-limite ». Compte tenu des événements qui se déroulent depuis lundi, un nouveau mot devra être ajouté à la liste : l’« absurde ».
Le terme peut paraître étrange, ou exagéré. Mais comment caractériser autrement le renversement total du sens d’un événement aussi extraordinaire que le référendum du 5 juillet, quelques heures seulement après sa conclusion, par ceux-là même qui l’avaient initié ?
La suite : http://www.contretemps.eu/interventions/grèce-absurde-tragique
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Certains avaient pourtant prévenu…:
http://prisoners-voice.org/fr/20150705_nikos_referendum.php
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David Graeber : « La façon la plus simple de désobéir à la finance, c’est de refuser de payer les dettes »
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