Onfray, Michel, récidive!
Il avait pissé sur Freud.
Il chie sur Sartre…
Dans sa (chiasse) chronique du Monde qui est tombé bien bas!
Sa méthode?
Comme les délateurs, il a pris ses ciseaux d’écolier demeuré, il a coupé des petits bouts par ci par là dans un gros livre d’entretiens Sartre-Gerassi, et collé le tout.
Et il s’imagine qu’un nain de son genre va salir Jean-Paul Sartre parce qu’il s’est souvent trompé?
Écris l’Être et le néant, Les mots, le Flaubert, etc, et tu pourras causer!
On ne va pas le citer. Si sa bouillie vous branche, lisez le Monde!
on ne peut réduire Sartre à cela, ni à tout ce que Onfray cite malhonnêtement dans son papier du Monde;
le point de vue de Onfray c’est celui du valet de chambre sur les grands hommes, comme le dit Hegel!
Et si Onfray avait raison de ” chier ” sur Sartre?
Sartre?
Le ” philosophe ” qui a osé écrire : ” Jamais nous n’avons été plus libres que sous l’occupation allemande. ” ?
Sartre?
Celui qui a fourni de nombreux textes à l’hebdomadaire collaborationniste Comoedia ?
Sartre?
Celui qui a composé avec les forces occupantes pour faire jouer deux de ses pièces, Les Mouches en 1943, Huis clos en 1944?
Sartre?
Celui qui n’a pas refusé de se voir attribuer, au lycée Condorcet, le poste du professeur de philosophie Henri Dreyfus-Lefoyer, mis à la retraite forcée par les lois antisémites de Vichy.
En cas de constipation chronique, lire ” les intellectuels français sous l’occupation” …