La Feuille de Chou publie cette intervention récente de Houria Bouteldja en Espagne, malgré un désaccord sur ceci:

Sur le plan politique. Il ne faut pas accepter comme central, le clivage de classe, c’est-à-dire avoir le courage de se positionner sur la fracture de race et mener en parallèle et/ou en articulation avec la lutte de classe, la lutte des races sociales.

mais plein accord avec le reste et en particulier ceci, expérimenté depuis les mobilisations avec Ecole pour toutes:

Convaincre les Blancs décoloniaux ou les plus proches de nous de s’organiser entre eux pour mener la lutte décoloniale à l’intérieur de leurs milieux : syndicats, associations, partis politiques… Les convaincre que c’est là la condition de l’alliance : le respect des espaces indigènes autonomes et l’abandon de la lutte exclusive contre l’extrême droite. En d’autres termes, les convaincre de s’attaquer en priorité à la décolonisation de la gauche.