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Après la découverte, hier matin (06/02), d’un employé de Vinci en train de visiter la cabane anti-GCO de Kolbsheim, un appel a été lancé pour monter la garde du lieu.

 

 

Sur place, les résistants au GCO/COS présents, on expliqué que l’employé de Vinci avait pris en photo l’extérieur et l’intérieur de la cabane, et qu’il avait -semble-t-il- bougé des objets qui s’y trouvaient mis à l’abri, comme une table de jardin, par exemple, qui a été retournée. Y’avait-il quelque chose d’intéressant sous le plancher…? Alors, comme ça, on se prend pour un archéologue amateur ?

Rien dans le secteur ne pouvait motiver la visite d’un employé de Vinci puisque les chantiers archéologiques sont à 200m de là et que le personnel de Vinci, l’aménageur du projet, n’a, selon la loi, pas le droit d’y pénétrer. C’est donc bien la cabane qui était visée.

Durga-L.Org

 

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La table a été remise à sa place ce midi par les opposants au GCO

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Pendant ce temps-là, les pelleteuses continuent de défoncer les champs à proximité de la cabane. Elles ont creusé des dizaines de tranchées depuis les collines de Breuschwickersheim jusqu’à Kolbsheim, laissant derrière elles un paysage lunaire auquel on ne se fait toujours pas.

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Sondage géotechnique

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Diagnostic archéologique en profondeur avec descente en nacelle

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