Puis ils sont venus place Kléber, ayant soigneusement délimité des emplacements à la craie ou au papier collant, éloignés de plus d’un mètre les uns des autres. En un premier temps, tout s’est passé sans problème. Mais une fois que les flics ont eu fini de ficher les gens place de la gare, comme ils avaient la main, ils sont venus Nasser et ficher les gilets jaunes encore présents.

Décidément, une belle journée pour la milice à Macron!

Et ça risque de durer tant que les salariés, les syndiqués, les chômeurs, les précaires, les gens de gauche ne se bougeront pas. Mais peu à peu ce sont les libertés démocratique élémentaires, dont celle d’aller et venir librement qui vont disparaître.