Liban
Sous le vrombissement vigilant de l’hélicoptère qui survole le trajet de l’aéroport au palais de Baabda, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad s’est retrouvé dans les quartiers qu’il affectionne, ceux des gens pauvres, où les stigmates de la guerre sont encore visibles. En dépit des consignes de sécurité très strictes, il a laissé éclater sa passion des foules (que ses détracteurs appellent son populisme) pour saluer les gens sortis en masse dans la rue pour l’accueillir et il leur a demandé de le bénir. « Faites des vœux pour moi », leur a-t-il lancé à partir du toit ouvrant de sa grande voiture blindée (de marque américaine). Le trajet a pris ainsi plus d’une heure et le président iranien a tenu à passer devant le camp palestinien de Bourj Brajneh pour saluer les habitants des camps et leur témoigner ainsi sa sympathie.
Toujours soucieux d’accorder une place privilégiée aux familles des martyrs et aux couches populaires défavorisées, Ahmadinejad a donné des sueurs froides à son service de sécurité (un mélange de membres de la garde présidentielle libanaise et de gardiens de la révolution iranienne, les premiers reconnaissables à leurs cravates et les autres sans) en insistant à s’arrêter tous les quelques mètres au cours du trajet pour serrer les mains tendues. Son cortège a d’ailleurs été recouvert de pétales de roses et de riz sur fond de chants enthousiastes. Il est vrai que depuis une semaine, le Hezbollah et Amal ont mené une véritable campagne pour mobiliser les gens et les inviter à descendre dans la rue pour accueillir le président de la République islamique d’Iran. Alors que les informations officielles annonçaient jusqu’à la dernière minute que le président iranien se rendrait à Baabda par hélicoptère, le Hezbollah, lui, savait qu’il n’en serait rien et c’est en connaissance de cause qu’il avait poussé les gens à se déployer le long de la route de l’aéroport. Le spectacle était d’ailleurs totalement différent de celui de la visite du prédécesseur d’Ahmadinejad, Mohammad Khatami, en 2003, qui avait été accueilli avec une certaine froideur de la part du Hezbollah. Il faut dire aussi que les circonstances actuelles sont bien différentes de celles de 2003. Ahmadinejad a donc poursuivi son chemin au pas de tortue sous des banderoles sur lesquelles est inscrite la formule suivante : « Mahmoud du peuple », accompagné par les cris enthousiastes de la foule.
Auparavant, il avait fait une courte escale au pavillon des VIP de l’aéroport où Nabih Berry lui avait déclaré : « Votre visite était déjà importante. Mais elle l’est devenue encore plus à cause de nos ennemis. Depuis que votre venue au Liban a été annoncée, vous avez occupé le monde entier… » Et le président iranien a répondu : « Parfois, les agissements de l’ennemi peuvent se transformer en source de bien, si Dieu le veut », ajoutant que « les ennemis sont toujours affolés lorsqu’ils voient des amis heureux ensemble ». Ahmadinejad a encore exprimé sa fierté d’être au Liban, « parmi ses frères », mais il n’a pas voulu trop parler. Visiblement, les discours protocolaires ont été écourtés, tant il avait hâte d’être en contact avec la foule. La foule qui lui a bien rendu son « amour », en multipliant sur son passage les explosions de joie et même en faisant éclater quelques feux d’artifice. Le premier contact d’Ahmadinejad avec le sol libanais a donc été à la hauteur de son attente. Il faut simplement signaler que selon des sources sécuritaires, l’armée libanaise a arrêté un travailleur syrien, A. O, qui était en train de filmer le convoi présidentiel de façon suspecte. Il est vrai que le service de sécurité libano-iranien est aux aguets avec toutes les menaces et les tensions qui ont entouré cette visite. Toutefois, le premier bain de foule a eu lieu sans incident et devant le portail du palais de Baabda, les premiers soulagés étaient les gardes de sécurité.
Petit Jules..
Je conçois aisément que tu puisses faire partie des aigris et des frustres de tout ordre mais je te prierai juste de cesser tes insultes!
Merci d’ avance
Dépèche toi alors d’aller quémander quelques miettes à Sarko et à ses pôtes les poujadistes, tu as le profil psychologique pour ça.
Non mon petit ce n’ eSt pas pareil..
Le vrai et la copie!
Staline dans sa folie avait du génie..
Je constate, mais sans m’ étonner que tu appartiens aux petits poujadistes de pacotille qui jugent les politiques avec de vieux cliches pourris!
Je te le répète je n’ ai rien a voir avec l’ UMP…
Je n’ ai ni carte ni maître..
Utiliser des méthodes staliniennes et être stalinien, c’est pareil.
Tu devrais te présenter aux élections, tu incarnes dans ta manière de parler le parfait politicien qui joue sur les mots.
Si tu n’es pas déjà à l’UMP, adhére vite, tu auras tes chances dans ce panier de crabes d’arrivistes.
Bonne chance.
Tu perds tes moyens
je ne t’ ai pas traite de stalinien
j’ ai parle de méthodes staliniennes
amicalement..
Le stalinien c’est toi et ton maître Berluscozy-Sarkoni.
On parle de troll a propos de messages pertinents auxquels on ne parvient pas a répondre ,de manière a les discréditer!
Toujours dans les méthodes staliniennes!
Un conseil à schlomo: il y a un troll de l’UMP sur ce site. Un petit imbécile qui se fait passer pour monsieur tout le monde.
Les petits bourgeois soumis se déguisent aujourd’hui.
Deux remèdes à cela: désactiver les commentaires ou les filtrer, vous n’aurez pas le choix.
Je sais tres bien lire:
l’ article que tu reproduis est un article qui encense une crapule et tu le reproduis petit soldat inCONsistant..
Tout le monde aura compris tes priorités!
Gardez votre calme même si on vous démasque, même si vos discours ne tiennent pas la route…
vous ne savez pas lire!
le texte publié pour information est un article du quotidien libanais L’Orient Le Jour…
à aucun moment je ne donne ici mon avis sur le président iranien…
si vous n’en pouvez plus (moi non plus de vos commentaires oiseux) cassez-vous comme dit Sarko (moins poliment que moi) ou faites votre propre site!
Schlomo et sa légion se défendent de soutenir le libéralisme sociétal et pourtant font l’éloge de ce fou dangereux de Ahmadinejad;
je nage en plein délire.
Ahmadinejad raconte que c’est à sept ans, en 1963, qu’il tombe sous le charme de l’ayatollah Khomeyni.« L’ayatollah Rouhollah Khomeyni, un dignitaire religieux parmi d’autres dans la ville sainte de Qom, est sorti de l’anonymat en s’opposant à la loi électorale votée par le Parlement à l’instigation du Shah et qui accorde le droit de vote aux femmes. » Sur son blog, Ahmadinejad raconte comment il devient un fidèle du père de la révolution iranienne
1. En deduire que Schlomo admire un dirigeant qui s’oppose à ce que les femmes obtiennent le droit de vote! Les bloggeuses sauront apprécier ainsi que toutes les femmes arabes qui luttent pour leur émancipation.
Il suit sa scolarité primaire et secondaire à Téhéran, et est admis à l’université de science et de technologie (Elm-o Sanaat) en 1976. Des incertitudes subsistent sur son entrée à l’université, détaillées plus loin. « En arrivant à Elm-o Sanat, il a été révulsé par le spectacle de jeunes femmes habillées à l’occidentale, symbolisant selon l’expression qu’il utilise sur son blog “ la débauche, la promiscuité, la perversité et la liberté des mœurs ” » « L’étudiant Ahmadinejad, poursuit Michel Taubmann, ne se reconnait ni dans les groupes gauchistes ni dans les Modjahedines du Peuple. La lutte des classes, même à la sauce islamiste, n’est pas sa tasse de thé. Lui, milite en faveur d’une conception stricte de la “foi islamique” la seule qui à ses yeux puisse créer un élan révolutionnaire
2. Pour Schlomo et ses sbires la seule révolution serait elle celle d’Ahmadinejad cet ” homme d’Etat hors norme ” ? On comprend pourquoi Schlomo n’aime pas le Libéralisme. Son ” homme d’état hors norme ” n’aime pas non plus ” la débauche, la promiscuité, la perversité et la liberté des mœurs ”
Au début de l’année 1979, « les partisans de Khomeyni s’organisent pour traquer les opposants et vont créer leur propre organisation politico-militaire : le corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI). (…) Ils sont aussi une police idéologique au service de l’ayatollah Komeyni. Ils s’organisent dans les usines et partout dans les universités. Les “Pasdarans “étaient nés.. (…) Selon Mohsen Sazegara [un des fondateurs des CGRI], le futur président iranien était membre des Pasdarans en 1980 mais ne jouait alors aucun rôle notable. »
3. Schlomo n’aime pas la Police républicaine francaise mais il aime bien apparemment la police à l’iranienne qui est aussi une police de la pensée et des moeurs. On comprend encore une fois son aversion face au libéralisme…
Khomeyni avait fondé les Gardes de la Révolution (aussi appelés Pasdaran), milice idéologique du nouveau régime, ainsi que les Basij, un mouvement de masse dont les jeunes membres avaient été préparés à mourir en martyrs pour le nouveau régime
4. On prend peur quand Schlomo appelle les jeunes à se joindre aux manifs…
J’en dis pas plus sur les positions de ” l’homme politique hors norme ” sur les homosexuels, les femmes, les juifs….
C’est Ahmadinejad qui dénonce le « mythe du massacre des Juifs…
5. Schlomo lutte contre les négationnistes parait il…
Je suis désolé je n’en peux plus et puis il faut tout de même laisser un reste de crédibilité à Schlomo…
Enfin si c’est possible encore…Après ce coup là !