Ensemble, tout devient possible!
Lorsque le gouverneMENT explique que les millions de Français dans la rue ont le même souci que lui, sauver la retraite par répartition, qui prend-il pour des nouilles?
Au même moment, des flashs publicitaires,diffusés à la télé, vantent les mérites du groupe d’assurances MALAKOFF-MEDERIC. A l’image des djeuns qui préparent leur avenir en rigolant. En bande-son, “Je rêêêvais d’un autre monde” de Téléphone!
Derrière cette pub, il y a MONSIEUR FRÈRE, soit Guillaume SARKOZY, délégué général de MALAKOFF-MEDERIC: prêt à vendre des produits d’épargne de retraite complémentaire privés, avec le soutien de la Caisse des Dépôts et Consignations, institution contrôlée par l’Etat. “Un autre monde“? Que ce monde est petit!
Ça marche comme ça chez les Sarkozy:
SARKOZY PRESIDENT asphyxie la retraite par répartition, SARKOZY ASSUREUR vise le pactole du marché de la retraite complémentaire privée.
Bingo pour les assureurs et pour les banques. Le gang du Fouquet’s espère bien continuer à se gaver.
Selon Aviva, 6e assureur mondial, le Français moyen devrait épargner 8000 € par an pour compléter sa future retraite. Soit plus de 600 € par mois!
Et tant pis si l’exemple américain vire au cauchemar: il manque 6600 milliards de dollars aux fonds de pensions américains pour maintenir le niveau de vie de leurs assurés pendant leur retraite, soit 45% du PIB des États-Unis!
Mais n’oublions pas qu’en 2007, Denis Kessler, lui aussi patron MEDEF dans les assurance, n’avait fait aucun mystère du détricotage de notre système de retraite et de santé comme de tous las acquis sociaux hérités du programme du Conseil national de la résistance.
Finalement, la patronne du MEDF, Laurence Parisot, n’a pas complètement tort quand elle conclut sa déclaration officielle de la mi-octobre de la façon suivante:
“C’est à mon avis le début de quelque chose de totalement nouveau….On est à un tournant…je pense donc que l’on peut bien amorcer cette nouvelle ère.”
Le seul problème pour elle, c’est juste qu’on ne va pas prendre le tournant dans le même sens!
Étudiants, jeunes, salariés, syndiqués et chômeurs en lutte contre les retraites par capitalisation.
Le Point
Encore une fois ( la quatrième je crois ) je te pose la question suivante:
comment vouloir comme tu le fais taxer le capital ( au passage cela ne veut rien dire)pour financer les retraites et maintenir le système par répartition!
Financer les retraites par un impôt sur le capital c’ est ouvrir le système aux investisseurs et c’ est signer la fin du système par répartition que Fillon tente de sauver!
Comme quoi une fois encore l extreme gauche est la complice du grand capital!
Tu n’ es pas oblige de répondre si tu n’ en as pas les outils intellectuels!