Quoi qu’on pense de Ségolène Royal, qu’on soit d’accord ou pas avec ses positions et son style populiste de gauche (ce n’est pas une critique), il faut lui reconnaître, à elle, et/ou à ses conseillers-llères, parfois issu(e)s de l’ex LCR, un certain génie politique.

Après avoir endormi son monde, et fait amie-amie avec Martine Aubry, la politique ayant “horreur du vide“, ne voyant rien venir, Sœur Ségolène, du haut de sa tour charentaise, mais en escarpins, solitaire, lasse d’attendre juin 2011, pour qu’enfin des primaires (déprimée?) sorte comme du chapeau de feu Mitterrand, l’oncle, pas le neveu, mais trop tard, le-la candidat-e, à la surprise générale, elle annonce sa candidature aux dites primaires. N’en jetez plus, la cour de la rue Solférino est pleine!

Quelle merveille aussi cette invitation à DSK d’être en somme, comme Fillon pour Sarkozy, son collaborateur!

Ainsi prend-elle de la hauteur et se rappelle-t-elle au bon souvenir des citoyen(ne)s las des pitreries à effet retard des autres prétendants qui tardent à engager le combat contre celui qui prétend, Dieu, ou le diable, nous garde, rempiler pour un second mandat avant de se la couler douce, à nos frais dans sa “dolce vita“.

Geh weg, Arschloch!” comme il éructa gracieusement…

La Feuille de Chou sur wikio, pour les amateurs de camemberts…

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