Samedi dernier, le 22 janvier, à partir de 11h, à la librairie Kléber, on a évoqué la figure trop tôt disparue de Jacques Hassoun, en présence de son épouse.
On se souvient de ce psychanalyste à l’œil doux et rieur rencontré au Cercle Wladimir Rabi, dans les années 80.
On sait qu’il faisait partie de ces juifs égyptiens, comme Henri Curiel, et d’autres, qui ont été parmi les créateurs du parti communiste égyptien.
Tous ont été expulsés en 1956, à l’occasion de la calamiteuse expédition franco-britannique sur le canal de Suez, contre Nasser. Jacques Hassoun était venu en France un peu avant.
C’est à l’occasion de la parution d’un ouvrage issu d’un colloque qui lui a été consacré que cette séance s’est tenue devant quelques petites dizaines de fidèles.
L’occasion de rappeler l’actualité de Hassoun, et d’éprouver le manque de sa présence, au moment où la révolution tunisienne ouvre un horizon dans tout le monde arabe, et au-delà.
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