http://rencontrespolitiques.wordpress.com/
Entendu Elisabeth Lévy (encore elle!) dire à 23h58 sur la 3
“J’aimerais bien qu’il y ait des débats contradictoires”
Comme à Strasbourg, cet automne?
Avec dans la Bibliothèque (pas si) idéale une tribune comprenant outre la Causeuse Lévy, Alain Finkielkraut, Miclo (causeur) Renaud Camus (antisémite distingué du parti de l’in-nocence, (aux innocents les mains pleines de…) sorti de son château de Plieux) et Bacille de Koch, comme son nom l’indique.
Très contradictoire en effet!
Cela vous sied si bien ..
Si Monsieur Moche-Lot entend persister dans ses accusations diffamatoire, il en répondra devant les tribunaux pénaux et devra verser des indemnités en compensation de préjudice moral.
Renaud Camus tient des comptes…
Giraudoux antisémite et raciste ?[modifier]
Se fondant sur plusieurs citations tirées du chapitre « La France peuplée » de Pleins pouvoirs[N 6], voire, dans certains cas, sur des extraits de répliques d’Holopherne dans Judith[24], plusieurs auteurs considèrent que Giraudoux était antisémite[25],[26],[27],[28],[29],[30],[31],[32],[33],[34] et raciste[35],[36],[37]. Spécialiste de Sartre, Jean-François Louette juge ainsi que Giraudoux « évoque maints problèmes » dans Pleins pouvoirs, mais que « l’essentiel aujourd’hui semble le chapitre intitulé “La France peuplée” », dont il stigmatise la « violence raciste »[N 7]. Pour Jean-Claude Milner, « le Giraudoux raciste et le Giraudoux républicain ne parviennent pas à se détacher »[38]. Daniel Salvatore Schiffer juge, quant à lui, que, dans Pleins pouvoirs, Giraudoux est « non loin […] de l’antisémitisme de Fichte ou Hegel »[39]. Aux yeux de Claude Liauzu, Giraudoux a donné des connotations positives au mot « raciste », dans le cadre d’une banalisation du racisme, dans les années trente[40]. Selon Pierre Vidal-Naquet, de même, le racisme de Giraudoux, en 1939, est prodigieusement banal[41].
Pour André Job, « l’antisémitisme, c’est d’abord, à n’en pas douter, une façon de ne pas résister au plaisir d’un “bon mot”, si malveillant soit-il », usage auquel il est arrivé à Giraudoux de sacrifier, « sans que les exemples soient en assez grand nombre pour qu’on puisse les juger vraiment significatifs »[42].
Alain Duneau parle de « défaillances », considérant que « deux pages de Pleins pouvoirs lui ont été à juste titre reprochées, mais sans lucidité particulière, par des professeurs de vertu qui ne s’interrogent peut-être pas assez sur eux-mêmes ou sur les illusions rassurantes mais criminelles dont d’autres se sont bercés ». À ses yeux, « ces deux pages trop connues pourraient bien être le fruit de l’appréhension d’un retour de la guerre », et il signale que « tout mot “raciste” a disparu chez lui dès que la guerre — réelle — a été déclarée »[43]. Toujours selon lui, la répulsion de Giraudoux à l’égard de toute forme de laideur, « sans doute ressentie comme une forme du mal » peut également « expliquer en partie certaines de ses faiblesses […] qui lui [ont] été abondamment reprochée[s] (accusations injustifiées de racisme) »[44].
Pour son biographe Jacques Body, « Giraudoux antisémite, Giraudoux vichyste, c’est devenu l’antienne des ignorants. » Selon lui, de Pleins pouvoirs, « son plaidoyer pour une politique d’immigration et pour le droit d’asile », on a fait, « cinquante ans plus tard, un bréviaire xénophobe et raciste, à coup de citations tronquées[45]. » Il considère que, chez Giraudoux, « l’appartenance à une patrie marque un homme, mais par la culture, non par des contraintes naturelles ou sociologiques. Giraudoux croit à la patrie, pas à la race[46]. »
Pierre Charreton, de son côté, relève que, si Giraudoux défend l’avènement d’une « politique raciale » et d’un « ministère de la race », pour lui, le terme de « race », « aujourd’hui empoisonné, voire tabou », mais « employé sans précaution jusqu’au milieu du siècle, parfois certes dans un sens proprement raciste, mais aussi dans une acception proche du terme “peuple” », renvoie à un « habitus », un ensemble de valeurs et de comportements partagés sur un territoire, et non à une référence ethnique. Giraudoux, rappelle-t-il, défend l’idée que « la race française est une race composée. (…) Il n’y a pas que le Français qui naît. Il y a le Français qu’on fait[47]. » Le but d’une « politique raciale », selon lui, n’est pas de retrouver un « type physique primitif », mais de « constituer, au besoin avec des apports étrangers, un type moral et culturel »[48]. De même, il relève que l’auteur éprouve un « choc désagréable » en découvrant sur une pancarte ou une affiche l’inscription : « La France aux Français », jugeant que cette phrase, au lieu de « l’enrichir le dépossède »[49],[50].
Le problème schlomo ce n’est pas de parler de sur représentation ou de sous représentation de qui que ce soit , le problème c’est de tenir des comptes par rapport aux origines des gens !
cEla semble vous échapper…
pOURQUOI parler des éleveurs de porcs???
” et si les juifs sont plus nombreux ça et là, il y a de bonnes raisons…” : mais encore???
Schlomo,
Vous serait il possible de citer vos sources de manière précise afin que chacun puisse juger en connaissance de cause?
Quel livre de camus n’est plus ” trouvable ” pour cause d’antisémitisme?
A quel endroit précis de son site Monsieur Camus regrette – t – il comme vous le dites ” ue l’antijudaïsme et l’antisémitisme aient été rendus impraticables du fait de ce monsieur Hitler qui a tout gâché avec ses camps d’extermination…” Ces propos sont effectivement très violents et me scandalisent , mais je ne les trouve pas sur le site de monsieur Camus : pourriez vous nous indiquer le lien précisément?
Les témoins de moralité , ce n’est pas moi qui les choisis, vous me l’accorderez… Cependant vous voudrez bien reconnaitre que si Finkielkraut et Elisabeth lévy , toujours prompts à dégainer contre les antisémites soutiennent monsieur Camus c’est que sans doute ce dernier est irréprochable à ce niveau…
Quant à vous vos témoins sont Weitzmann passé des inrocks au sarkozisme ou alexandre Adler le premier a avoir traité bernanos d’antisémite … sont ils vraiment d’accord avec vos positions???
Quant à giraudoux antisémite , pauvre schlomo…
Vous connaissez Céline Schlomo?
parler de “sur-représentation”, c’est de l’antisémitisme déjà!
c’est comme les quota du temps de Freud en médecine à Wien Ostereich
au nom de quoi devrait-il y avair à fRance Cul ou ailleurs la même proportion de juifs que dans la population générale?
même chez les éleveurs de porcs?
c’est stupide!
et si les juifs sont plus nombreux ça et là, il y a de bonnes raisons…
allez donc sur le site du parti de l’In-nocence!
vous verrez avec quel art, M. Camus Renaud regrette que l’antijudaïsme et l’antisémitisme aient été rendus impraticables du fait de ce monsieur Hitler qui a tout gâché avec ses camps d’extermination…
on ne peut plus être tranquillement antijuif, c’est terrible ça, un bon vieil antisémitisme à la française…à la Giraudoux, Bernanos, et tutti quanti, une bonne part des “grands” de la littérature y sont…
comme témoins de moralité de RC, vous n’avez pas autre chose que Mme Lévy-la-Causeuse et M Finkie-white-white-white?
Mauvaise foi , comme d’habitude !
Cessez de diffamer Schlomo : Renaud Camus n’a rien écrit d’antisémite et n’a jamais été condamné ! Marc Weitzmann ( ancien journaliste des inrocks passé dans le camp du président ) lui reproche d’ avoir parlé de surreprésentation de journalistes juifs dans l’émission panorama de france culture ! On ne peut rien lui reprocher d’autre !
Dans cette affaire , Camus a été soutenu et lavé de toute accusation par Alain Finkielkraut, Élisabeth Lévy, Emmanuel Carrère, Camille Laurens et Marianne Alphant !
un de ses livres est introuvable pour cause d’antisémitisme;
puisque vous savez ce qu’il a dit, faites nous en profiter!
C’est pas ça qu’il a dit: allez lire!
il trouvait que les juifs étaient trop présents dans la (france) culture, et que si on est juif, on ne peut avoir l’exquis sentiment français des choses…c’est bien connu; nous on élevait des chèvres dans le désert, et nos fils sont avocats, médecins, banquiers, enseignants, cinéastes, journalistes,etc…
“ils sont de trop” comme dans les années trente…
faut rouvrir les camps…
Renaud Camus n’est pas antisémite. Vous êtes gâteux?
Il n’a jamais adhéré à un mouvement dont il ne fût pas le fondateur : il est « président à vie auto-proclamé » du groupe Jalons et c’est tout !
Le groupe jalons , surement trop libre et trop fun pour vous…
http://www.jalons.fr/
membre du PCF!
je l’ai vu à Bilbliotek (Passy) idéale
Basile de koch!
Un oulipien situ bien connu, a part de vous..
c’est un compilment pour moi…
Idiot utile!