On a lu ça sur israel-infos qui constitue le dernier paragraphe d’une dénonciation de l’implication d’un Comité d’Entreprise de la SNCF à la préparation d’un bateau français pour Gaza (appelé par mimétisme bateau de la honte comme le mur de la honte).
On voit que les sionistes ne se refusent pas à établir des comparaisons qu’ils reprochent d’habitude à leurs adversaires amis de la Palestine.
“Quelques semaines après avoir reconnu l’implication de la SNCF dans la déportation des juifs de France (“La SNCF, contrainte, fut un rouage de la machine nazie d’extermination”), il ne faudrait certainement pas ajouter le bateau de la honte aux trains de la honte“.
Comme si la honte n’était pas l’étranglement par blocus de Gaza!
Ces députés, du lobby sioniste, ont écrit à Guillaume Pepy, président de la SNCF…
Ils dénoncent “l’implication du Comité d’Entreprise des Cheminots Provence-Alpes-Côte d’Azur, et donc de la SNCF, dans cette mission politique et militante.”
Richard MALLIÉ, Député des Bouches-du-Rhône
Claude GOASGUEN, Président du Groupe d’amitié France-Israël, Député de Paris
Claude GATIGNOL, Député de la Manche
Denis JACQUAT, Député de Moselle
Guy LEFRAND, Député de l’Eure
Geneviève LEVY, Député du Var
Hervé MARITON, Député de la Drôme
Jacques REMILLER, Député de l’Isère
Dominique TIAN, Député des Bouches-du-Rhône
Le premier de la liste, Mallié, s’est distingué par la défense d’un amendement amendement refusé par le gouvernement, pour plus de pouvoir aux maires (cow-boys?) après l’affaire Laetitia.
Comme on n’a pas de temps à perdre, on n’a pas fait les mêmes recherches pour les autres, qui sont du même tonneau, la droite de la droite UMP celle qui prépare méthodiquement, comme leur chef de bande à l’Élysée, l’alliance avec l’extrême-droite. Mais si le cœur vous en dit…
Exemple: le sieur Tian trouve que les sans-papiers sont trop bien soignés et coûtent trop cher…
http://www.dailymotion.com/video/xgk7sg_ump-tian-bertrand-soins-pour-les-sans-papiers_news
Ce qui confirme que le gouvernement d’extrême-droite israélien a les amis qu’il mérite à l’Assemblée nationale française!
Ceci n’est ni dans les médias, ni même sous le clavier de l’écrasante majorité des experts du Moyen-Orient et autres historiens et pourtant c’est vrai. Donc çà devrait pouvoir être dans la feuille de chou et sous sa devise, si son responsable le veut bien.
« Le 29 novembre 1947, ne respectant pas leur Charte, sous l’influence conjuguée aux objectifs contradictoires de Truman, Staline, celle aussi de « la France » et, évidemment sous l’influence des sionistes de droite et de gauche de la planète (pas seulement futurs Israéliens) partisans d’un état exclusivement habité par des Juifs ou se croyant de vieille ascendance trimillénaire telle, officiellement trente trois pays membres de l’assemblée générale de l’ONU sur cinquante-sept (alors que d’autres auraient dû légitimement en faire partie) votèrent « Oui » pour la recommandation (seulement et même pas la prescription contraignante), d’un plan de partage de la Palestine (sans consultation par referendum des autochtones). Une partition en trois territoires (et, en fait géographiquement, huit unités territoriales), dont celui à statut international des Lieux saints, clause absolument essentielle pour l’obtention de plusieurs votes, et clause que les sionistes n’avaient pas plus l’intention de respecter que les trois autres, un état juif, une état dit arabe et une union économique. Sachant que la majorité requise pour valider les votes de l’assemblée générale de l’ONU était des deux tiers (mais paradoxalement) des seuls votants « Oui » ou « Non », et que trois voix indispensables furent extorquées par chantage, alors que celles de quatre pays étaient, de fait, mues par le grand frère soviétique, et également qu’au moins deux autres voix de l’Amérique centrale (Costa-Rica et Guatemala), plus l’Uruguay, furent achetées comme en attestent des archives de l’anomalie étatique sioniste. Soit donc, en réalité, moins de 24 « Oui libres » sur 56 possibles. »
Evidemment ça n’est pas très court, ni succinct, par rapport à l’ultra-désinformant : « Novembre 1947 : l’ONU décide le partage de la Palestine en un état juif et un état arabe » ! Mais plus de brièveté entraîne automatiquement une conceptualisation erronée aux graves dépens des Palestiniens patriotes, parce que les sionistes invoquent constamment hypocritement leur légitimité sur la base de ce vote faussé que la Charte de l’ONU ne lui permettait pas de présenter comme l’a démontré le juriste palestinien également anglophone et francophone et porte-parole de la délégation arabe Henry Cattan.
bravo!ren-ver-sant!!