L’angélisme du livre de Abdelwahab Meddeb,Le printemps de Tunis, une histoire rêvée, comme si les forces réactionnaires, pas détruites allaient laisser faire, est mis à mal par les récents événements.Couvre-feu, violences contre la presse, etc.

A force de lire la révolution française avec les yeux de François Furet, on en oublie que “la révolution n’est pas un dîner de gala“, non que les Tunisiens soient violents, mais les forces du régime à demi ébranlé ne se laisseront pas dépouiller pacifiquement de leur pouvoir dictatorial. Croire que le danger c’est l’islamisme alors que les partisans de Ben Ali sont encore là, voilà une erreur qui pourrait se révéler fatale.

L’anghttp://fr.allafrica.com/tunisia/

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