Ce qui n’est pas dans le Journal est dans la Feuille de Chou…
News from Within Podcast: The Role of the Anti-Colonial Jewish Movements
The Alternative Information Center (AIC)
On the 25th of October 2009, Michael Warschawski, co-founder of the Alternative Information Center (AIC), and a well-known author, journalist and activist, discussed “The Role of the Anti-Colonial Jewish Movements.”
He gave this lecture at the two day seminar “United in Struggle against Israeli Colonialism, Occupation, and Racism: Economic Perspectives and Advocacy Strategies,” which took place in Bethlehem on the 24th through the 25th of October.
The seminar was jointly sponsored by The Alternative Information Center (AIC) and the Occupied Palestine and Golan Heights Advocacy Initiative (OPGAI).
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Oliviers palestiniens arrachés: aucune poursuite judiciaire
Rights group: 69 cases of Palestinian olive trees destroyed, but no prosecutions
By Chaim Levinson, Haaretz Correspondent
The human rights organization Yesh Din says not one of the 69 complaints filed during the past four years on damage to Palestinians’ trees in the West Bank has resulted in an indictment. The organization released a report on the matter Tuesday and makes specific reference to damage caused to olive groves, central to the livelihood of Palestinian villagers.
The olive harvest season is coming to an end in most parts of the West Bank this week, with the exception of those areas at higher elevations. Attacks targeting trees harvested by Palestinians – olive trees in particular, but also almond, fig, lemon and others – has been on the rise in recent years.
During the past four years, Yesh Din filed 69 complaints which are under investigation by police in the West Bank. The toll involves many thousands of trees in numerous areas, from Susya in the southern Hebron Hills to Salem in northern Samaria.
According to the report, 27 cases (40 percent of the cases for which complaints were filed) were documented between January and October of this year. Notwithstanding Israel Defense Forces reports that the olive harvest passed “quietly” during the months of September and October, the human rights group reported dozens of incidents in which hundreds of Palestinian trees were damaged.
According to the reports, not a single one of the 69 cases under investigation has led to an indictment of the suspects. Fourteen cases are still under investigation; another four are being evaluated by police and state prosecutors, and a decision is pending on whether the authorities will press charges against the suspects.
“Continuous damage to the livelihood of Palestinian families is not met with immediate response from the law enforcement authorities,” said Lior Yavne, head of research at Yesh Din.
“Yesh Din’s multi-year follow up on the results of investigations into violations carried out by Israeli citizens against Palestinians shows that nearly 92 percent of the investigations fail, and the cases are closed without charges being filed,” he added. “The incidents of damage to the trees, [and] the rate of failure of the investigations conducted by Judea and Samaria District [police] is 100 percent.”
In response to these claims, the Yesha Council of settlements says “We have followed for years the dozens of cases of damage to Jewish farmers, and our report, ‘Who will Defend my Olive Tree?’ shows that selective law enforcement exists. All authorities go out of their way to protect the Arab farmer. On the other hand, they do not even investigate the complaints of the Jewish farmer. There are restraining orders against Jews during the olive harvest season but nothing against the Arabs.”
Pilotes palestiniennes dans l’Escadrille Féminine Méditerranéenne
http://foxtrotpress.over-blog.fr/article-dernieres-infos-39778834.html
Connaissez-vous le BNVCA?
Ce sont ces gens qui, récemment, s’en sont pris à François Cluzet et qui maintenant, supplétifs de “Tsahal” en France, demandent l’interdiction d’une semaine de solidarité à la Palestine à Paris XIII!
Mais que fait Mme Alliot-Marie?
24/11/2009
Le BNVCA et le CCJ 93 demandent l’annulation d’une quinzaine de propagande islamopalestinienne à l’Université Villetaneuse.Des professeurs et des etudiants de Paris 13,agacés;inquiets de voir leur université transforméee en Gazaland politicoreligieux
Association Tunisienne des femmes democrates
112, Avenue de la Liberté 1002 Tunis.
Tél: (216)71 890 011 Fax: (216) 71 890 032 P (216) 22 953 782
Email : femmes_feministes@yahoo.fr
Tunis, le 15 novembre 200
COMMUNIQUE
POURQUOI CE BLOCUS SUR L’ATFD ?
Sur l’ATFD l’étau se resserre ! Depuis le mois d’octobre, un impressionnant dispositif sécuritaire est mis à nos portes. Postés là en permanence et soumis à la loi du silence, des agents font régner leur ordre discrétionnaire, filtrant l’accès aux locaux de l’association et refoulant avec force les jeunes et les « indésirables » parmi les adhérentes ou les partenaires. Ce blocus qui vise à nous couper de tout lien avec notre environnement, frappe de plein fouet nos activités de formation organisées dans le cadre de l’Université Féministe Ilhem Marzouki.
L’Université Féministe Ilhem Marzouki est, à l’instar du Centre d’écoute et d’orientation des femmes victimes de violence de l’ATFD, une activité interne de sensibilisation et de formation à la culture féministe de l’égalité. Formation non diplômante et bénévole, elle vise la diffusion auprès d’une jeunesse menacée par les conservatismes, les archaïsmes et l’exil, les valeurs d’égalité des sexes, des droits humains, de la citoyenneté et de la démocratie. Cette activité, inhérente aux objectifs de l’ATFD pour les droits des femmes, a requis l’aménagement d’un espace abritant ses sessions et ses modules de formation.
A cet effet, l’association a entrepris toutes les démarches administratives nécessaires exigées par les textes, notamment par la loi sur les associations. Déclaration préalable en a été faite. Aucun acte de rejet n’a été en retour signifié à l’association. Face au siège qui se poursuit, l’ATFD a tenté en vain des médiations. A ce jour aucune démarche n’a abouti à une quelconque entrevue, ou RDV d’entrevue ou même à l’amorce d’un dialogue. L’ATFD n’a en effet pour vis-à-vis que la police politique dont le seul leitmotiv est d’exécuter les ordres… de qui ?
Nous femmes démocrates, réunies en urgence :
- déplorons cet état de fait que nous considérons abusif et attentatoire à la liberté d’association et au droit élémentaire de poursuivre en toute quiétude les activités inhérentes à notre engagement pour les droits des femmes, l’égalité et la citoyenneté.
- Nous nous élevons contre cette politique de cantonnement des associations autonomes de la société civile, du silence auquel nous nous heurtons et de la gestion policière de nos affaires.
- Nous mettons les autorités face à leur responsabilité envers la jeunesse du pays et les risques qu’elle encourt du fait de la répression et de l’absence de libertés.
- Nous demandons que le siège soit levé sur notre association et que l’on ouvre dans la transparence, avec qui de droit, les questions «litigieuses ».
Pour l’ATFD La Présidente
Intolérable dérive de propos xénophobes : le MRAP appelle à un sursaut républicain
Le MRAP constate avec consternation que – selon le “petit journal” de Yann Barthes sur Canal Plus – des propos blessants ont été à nouveau tenus par une figure politique française, cette fois, l’ancien président de la République Jacques Chirac, à l’endroit d’un français « issu de l’immigration ».
En effet, dans la séquence en question, un jeune homme « typé » demande à l’ancien président s’il peut le prendre en photo. Chirac lui dit : “Vous êtes d’où vous ?”. Le jeune répond : “je suis de Lormont.”. “Lormont, c’est une commune juste à côté de Bordeaux” précise Alain Juppé présent. Aussitôt, Chirac glisse à Juppé : “A mon avis, il n’est pas tout à fait né… natif de… natif de la… enfin bon.”. Le MRAP tient à rappeler qu’il avait en 1991 porté plainte contre Jacques Chirac suite à son discours lors d’un diner du RPR où il s’en était pris « au bruit et à l’odeur » des immigrés.
Ce nouveau dérapage confirme une dangereuse libération de la parole d’inspiration xénophobe selon laquelle les français « issus de l’immigration » maghrébine et/ou africaine ne peuvent être reconnus et traités pour ce qu’il sont, à savoir des français à part entière.
Le MRAP s’alarme de l’inflation des propos xénophobes – venant d’élus (M.M. Frêche, Vals, Hortefeux) ou de hauts fonctionnaires (M.G. de Langlade) – et appelle à un sursaut républicain ainsi qu’à une forte mobilisation citoyenne pour contrecarrer cette intolérable dérive .
Paris, le 24 novembre 2009.
Une thèse d’actualité
Assimilation et naturalisation. Socio-histoire d’une injonction d’État
Cette thèse est consacrée à l’étude de l’injonction à l’assimilation dans la procédure d’acquisition de la nationalité française entre 1927 et 2007. Dans un premier temps, la question est de savoir quand et pourquoi a-t-on exigé des candidats à la naturalisation d’être « assimilés » pour devenir français. Une approche socio-historique montre comment l’« assimilation » est devenu un concept à la fois religieux, politique et scientifique et comment ses divers usages et significations ont été déterminées par l’appropriation dans différents champs discursifs et par sa circulation entre métropole et colonies. La naissance de la condition d’assimilation dans le droit de la nationalité est analysée en fonction des configurations sociales et politiques spécifiques marquées, dans les colonies, par les rapports de domination coloniaux et, en métropole, par la volonté d’assimiler les « races sœurs » dans un contexte de crise démographique. Dans un second temps, il s’agit de savoir comment l’administration chargée des naturalisations mesure l’« assimilation » des candidats. Une analyse socio-historique et ethnographique (en préfecture) met en lumière l’invention des critères d’assimilation et les usages administratifs qui en sont faits, déterminés par la conjoncture historique, la concurrence de logiques administratives, les pratiques des agents subalternes et la « naturalisabilité » des candidats. La vérité objective de la naturalisation est particulièrement bien révélée par les cas de refus de naturalisation pour « défaut d’assimilation », qui concernent principalement des femmes et/ou des musulmans. L’étude du contentieux administratif relatif au « défaut d’assimilation » soulève les questions du hijab, de la polygamie et de l’« islamisme » dans la procédure de naturalisation.
Georges Ibrahim Abdalalh
Georges Ibrahim Abdallah, révolutionnaire libanais, militant de la cause
palestinienne, emprisonné à Lannemezan, est convoqué à comparaître le 1er
décembre devant le Tribunal de Tarbes pour refus de prélèvement d’ADN.
Il s’agit d’une convocation « Provocation » ! En effet l’administration
dispose certainement de l’ADN de Georges Abdallah car la loi précise que
pour les personnes condamnées avant le vote des lois sur le FNAEG (en
général avant 2003), celles ayant écopé de plus de 10 ans de prison doivent
fournir leur ADN et que dans ce cas, les prélèvements peuvent être
effectués de force ou à l’insu des condamnés. Il est d’ailleurs précisé
dans la loi que lorsqu’il n’est pas possible de procéder à un prélèvement
biologique, l’identification des empreintes génétiques « peut être réalisée
à partir de matériel biologique qui se serait naturellement détaché du
corps de l’intéressé ».
L’infraction « entraîne de plein droit le retrait de toutes les réductions
de peine dont cette personne a pu bénéficier et interdit l’octroi de
nouvelles réductions de peine ». La peine encourue pour les condamnés pour
crimes est 2 ans et 30 000 euros d’amende. Les peines prononcées pour le
refus de prélèvement s’ajoutent, sans possibilité de confusion, à la
condamnation en cours.
Georges Abdallah est incarcéré depuis plus de 25 ans. Libérable depuis dix
ans, la justice le maintient en prison du fait des pressions israéliennes
et états-uniennes. Mais les refus de libération ne suffisent pas à la
justice. Elle tente de briser la résistance de Georges Abdallah par tous
les moyens, comme elle tente de briser la résistance d’autres prisonniers
politiques comme Georges Cipriani et Jean-Marc Rouillan.
Cette convocation au tribunal de Tarbes doit être l’occasion d’une
mobilisation pour la libération de Georges Abdallah et contre la loi sur le
fichage génétique.
Venez le soutenir devant et dans le palais de justice de Tarbes, rue du
maréchal Foch (à coté de la place de Verdun) le mardi 1° décembre à 13 h
30. La séance est publique et Georges devrait être présent.
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