Phrase entendue le 18 avril, dans la salle de la mairie de Schiltigheim, près du bar qui venait pourtant juste d’ouvrir.
Bien entendu, la légendaire modestie d’Armand Peter en souffrirait.
C’est à l’occasion d’un pot offert pour le départ à la retraite du fonctionnaire territorial, également créateur de bfeditions , que cette phrase a été prononcée et relevée.
Il avait invité tous ses ami(e)s qui sont venus nombreux. Élus, écrivains, poètes, chanteurs-ses, régionalistes, professionnels des médias et cultureux divers, associatifs, tous et toutes étaient invités par Schiltigheim TV à dire d’une phrase leur sentiment sur le désormais retraité (professionnel s’entend).
La Feuille de Chou était là aussi. Elle a enregistré l’intégrale du discours d’Armand Peter:
Parmi les personnalités, comme disent les médias sérieux, on a reconnu Marie-Josèphe, l’épouse d’Armand, Raphaël Nisand, maire de Schiltigheim, et candidat sauvage contre Andrée Buchmann, soutenue par EELV et le PS,qui était présente, Denis Maurer, Danielle Dambach, le président de l’Institut du Droit local, Jean-Marie Woehrling, Pierre et Jeannette Boulay, le professeur émérite Léon Strauss et son épouse, Jacques Fortier et Antwan Wicker des DNA, Dinah Faust, comédienne, veuve de Germain Muller, des poètes comme Sido Gall ou Sylvie Reff qu’on entendit au micro, Pierre Zeidler, [N’idiot ni maître], la psychanalyste Charlotte Herfray, qui a raté les discours comme Martin Graff, descendu de sa montagne avec son rucksack, [bientôt à la Choucrouterie], Pierre Klein, d’Initiative Citoyenne d’Alsace , et, bien d’autres encore, qu’ils-elles m’excusent, si j’en oublie…
DNA 200412
Service minimum pour Armand Peter
Le Carnet Culture
Culture.- Une réception a salué jeudi soir en l’hôtel de ville de Schiltigheim le départ en retraite d’Armand Peter, chargé du patrimoine culturel dans la cité des brasseurs. Éditeur depuis plus de trente-cinq ans (bf éditeur), militant culturel, animateur de la biennale Mitteleuropa, Armand Peter — qui entend bien poursuivre ces autres chantiers — a porté à Schiltigheim de nombreux projets liés à l’histoire industrielle, culturelle et sociale de la ville.
La maison d’édition d’Armand Peter s’appelle bfeditions
Trop difficile à citer correctement, et avec le lien, pour les grosses éditions concurrentes de la Nuée-Bleue appartenant, comme les DNA et EBRA au Crédit Mutuel…