Parmi les micro-mesures sympathiques, et pas chères, à prendre, non prévues dans les soixante programmées, en finir avec la “première dame“, pas la compagne elle-même du président, mais cette expression, bêtement et médiatiquement traduite de l’étasunien “first lady“.

 

Mme Trierweiller n’a pas été élue. Elle a (avait) ses activités propres journalistiques, est la compagne du président. Elle n’est pas présidente. La Constitution de la 5e République ne la (re) connait pas. Elle n’a, à ce jour, aucune fonction officielle.

Bien entendu, elle peut en recevoir une, ou s’occuper à sa guise, comme Mme Mitterrand savait si bien le faire, un peu plus à gauche que son mari.

 

Mais de grâce, finissons en avec la “première dame“!

.P.S. Je viens de découvrir comment un grossier personnage a animalisé Mme Trierweiller. En tapant son nom, dans le correcteur automatique, une fenêtre s’ouvre et propose, en premier, ce nom d’animal dont elle a été affublée, aux côtés de vieilleries, tréfilerie et, plus joli, triller.