Les « invités » d’Amygdaleza sont privés de sortie et comptent déjà 48 heures enfermés dans leurs containers, courant le risque d’être affectés de coups de chaleur. La majorité des containers ont l’électricité coupée et la climatisation ne fonctionnent pas. Certains sont même privés d’eau courante. La Grèce continue de se moquer éperdument des droits de l’homme.
Encore plus de répression : c’est la réponse de la police au soulèvement d’Amygdaleza. Elle choisit de mettre en place un décor cauchemardesque de tension qui aggrave encore les politiques sans issue mises en place par le ministère de l’ordre public et qui fait qu’un nouveau soulèvement semble encore plus probable.
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