par Pierre Tevanian

A l’heure où l’appareil d’Etat, aux mains de la gauche, poursuit une politique intensive de rafles de roms et de sans-papiers, d’expulsions de lycéens et de chasses aux voilées, à l’heure où même des injures négrophobes contre Christiane Taubira servent de tremplin au sinistre Manuel White, à l’heure où la vieille machinerie de l’antiracisme d’Etat se remet péniblement en marche, pour occulter une fois de plus d’autres marches et d’autres antiracismes, à l’heure où les petites mains jaunes tentent de se refaire une santé avec le concours de l’inusable Sœur Caroline Fourest, un retour critique nous a paru nécessaire sur ce que nous appelons, donc, l’antiracisme d’Etat [1].

Première partie : En finir avec l’antiracisme d’état

2e partie : Peur de l’inconnu, peur de l’autre, peur de la différence

3e partie : De l’existence des races

4e partie : Limites et mérites de la tolérance

5e partie: Logique de la haine

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