lu dans les DNA:
Une titraille de 13 mm pour appâter le gogo (a)mateur supposé, lui aussi, de “petites culottes” à la une.
La page Fait divers des DNA du 20 mai n’y va pas avec le dos de la petite cuiller.
Qu’est ce qu’il ne faut pas faire pour vendre du papier noirci! Et c’est une femme à qui la mission a été confiée par un rédac-chef homme, on suppose.
Mais, encore plus fort que le Journal, qui émoustille le lectorat, la justice qui y voit une “exhibition“. La nuit sur un balcon désert?
Devant qui ce gentil puceau s’exhibait-il?
Ah, oui, devant le futur spectateur des images de la caméra de vidéo-surveillance installée par le “couple strasbourgeois“.
C’est pas un délit de voyeurisme, ça?
Et le magistrat d’en rajouter une louche, par une allusion pédophile: “également excité par les culottes des enfants.” Un monstre, quoi!
Mais le plus rigolo, c’est la dernière phrase de la préposée aux faits divers spermatiques:
“Il a l’obligation de travailler, -ce qu’il fait- de se soigner – en allant chez les prostituées s’il ne trouve pas de petite amie?- et l’interdiction d’entrer en contact avec les victimes.”
Les victimes? Qui ça?
Les petites culottes?
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