Strasbourg, présidente du CoFraCiR
Communiqué de PRESSE
Lancement du Conseil Français de la Citoyenneté de Résidence (CoFraCiR)
Toulouse, le 16 avril 2011
Réunis à Toulouse le vendredi 15 et le samedi 16 avril 2011, les élus des villes, les représentants des conseils de résidents étrangers ont créé le premier Conseil Français de la Citoyenneté de Résidence (CoFraCiR).
Réunis en assemblée plénière, les représentants élus des villes et des résidents étrangers ont approuvé les statuts et élu la ville de Strasbourg à la présidence du CoFraCiR.
Le CoFraCiR s’engage pour le droit de vote et d’éligibilité des résidents étrangers aux élections locales. Il s’attachera également à promouvoir la participation des résidents étrangers à la vie publique et à lutter contre toutes formes de discrimination.
Dans le contexte actuel, le CoFraCiR saisit également l’occasion de sa mise en place pour dénoncer avec vigueur les prises de position consistant à stigmatiser et à considérer l’étranger comme un « bouc émissaire » et non comme une richesse pour notre pays.
Comme l’affirme l’Appel des maires, « le concept de citoyenneté contient le droit pour toute personne de participer aux prises de décision qui la concernent. Etrangers comme nationaux sont impliqués dans la vie de nos cités et le vivre ensemble. »
Le CoFraCiR demande aux maires qui ne l’ont pas encore fait de signer « l’Appel des maires » pour le droit de vote et d’éligibilité des résidents étrangers aux élections locales.
Fait à Toulouse, le samedi 16 avril 2011
La nationalité n’est pas qu’une notion administrative, elle est aussi un sentiment d’appartenance à une communauté. lisez les propos d’un ancien inspecteur général de l’éducation nationale française :
«La société française. La laïcité française n’est pas contre l’islam, contre les religions. C’est très simple, aujourd’hui c’est l’Algérie qui budgétise la Mosquée de Paris. Les Algériens et l’ensemble des musulmans de toute nationalité qui ont une admiration pour l’Algérie et sa révolution sont étonnés que nous budgétisions des traîtres. Comment le président de la République algérienne, qui est quand même le garant des valeurs de la révolution, peut-il continuer à budgétiser une mosquée à la tête de laquelle il y a un traître? Je le dis sincèrement. Il faut que le président mette fin à cette situation. Il y a des centaines de mosquées attachées à l’Algérie que nous pouvons financer.»
Source : http://www.tsa-algerie.com/divers/abderrahmane-dahmane-aucun-musulman-n-a-envie-de-soutenir-monsieur-boubekeur_14800.html
Vous voyez, malheureusement la nationalité n’est pas uniquement une question administrative. Etonnant, non !
Non non restez a Lille..
Une bonne initiative.
Mais il me semble important que l’on pose la question de l’accession automatique à la nationalité au bout d’un certain temps de présence (trois ou cinq par exemple). La nationalité devrait être essentiellement une notion administrative. on a la nationalité du pays dans lequel on vit.
Je suis devenu lillois depuis que j’habite à Lille. Si je quittais Lille pour une autre ville, je serai un habitant de cette nouvelle ville.
rudolf