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paru dans les DNA
La bactérie Escherichia coli , qui sert à multiplier l’ADN, n’est jamais en contact avec la plante.
En réalité, la bactérie utilisée est Agrobacterium tumefaciens. Celle-ci dispose, naturellement, des capacités à transférer de l’ADN dans le noyau de la cellule végétale, contrairement à Escherichia coli.
En ce qui concerne la résistance aux antibiotiques : effectivement, des souches de bactéries résistantes à certains antibiotiques sont utilisées par les laboratoires de recherche. Selon M me Nehlig, « l’histoire ne (…) raconte pas» ce que deviennent ces bactéries résistantes. Il faut savoir que ces bactéries sont systématiquement détruites par d’autres classes d’antibiotiques durant le processus de sélection des plantes transformées.
Aucune bactérie n’est présente sur les plantes transgéniques et toutes les cultures bactériennes sont détruites par autoclave ou par traitement au chlore suivant la réglementation en vigueur.
Autre témoignage de la méconnaissance de Madame Nehlig du sujet qu’elle évoque: les infections aux E. coli entérohémorragiques ne se soignent pas avec des traitements antibiotiques. En effet, de tels traitements ont pour conséquence d’aggraver l’état des patients en libérant plus de toxines bactériennes.»