Légitimement mandatés et soutenus par de nombreux citoyens et des nombreux élus, Philippe Spitz – Président et Dominique Bézu – Vice-président de l’Association Régionale de soutien aux Coop d’Alsace ont terminé la série d’entretiens qui leur ont permis de se rendre compte de la situation du Groupe Coop et d’analyser les propositions faites par la direction actuelle pour sauver l’Union des Coopérateurs d’Alsace. Ces rencontres ont fait de l’Association Régionale de Soutien aux Coop d’Alsace un partenaire d’expertise incontournable et lui ont permis de proposer une solution alternative.

 

 

 

Ils ont rencontré :

 

 

 

· Christian DuvilletPDG du Groupe Coop

 

En plusieurs rencontres, Christian Duvillet nous a présenté les propositions faites pour sauver l’activité de l’Union des Coopérateurs d’Alsace. Nous lui avons également présenté notre proposition alternative.

 

· Claude-Maxime Weil Administrateur Ad hoc du Groupe Coop

 

En plusieurs rencontres, Claude-Maxime Weil nous a informé des difficultés actuelles du groupe, nous a expliqué la procédure et brossé un tableau des possibilités de sauvegarde de l’emploi. Nous lui avons également présenté notre proposition alternative.

 

· Jacques Bigot Président de la Communauté Urbaine de Strasbourg

 

Jacques Bigot nous a reçu longuement, nous a assuré de son souci pour l’avenir du groupe coopératif ainsi que de son soutien à la Direction de la Coop dans le plan qu’elle engage.

 

· Philippe Richert, Ministre chargé des collectivités territoriales, Président du Conseil Régional d’Alsace

 

Nous avons été en contact téléphonique avec Christophe Kieffer directeur du Cabinet du Président. Il nous a assuré du souci de Philippe Richert pour l’avenir du groupe coopératif ainsi que de son soutien à la Direction de la Coop dans le plan qu’elle engage.

 

· Guy-Dominique Kennel président du Conseil général du Bas-Rhin

 

Nous avons été en contact téléphonique avec Marie-Agnès Belard directrice du Cabinet du Président. Elle nous a assuré du souci de Guy-Dominique Kennel pour l’avenir du groupe coopératif ainsi que de son soutien à la Direction de la Coop dans le plan qu’elle engage.

 

· l’ADIRA – Agence de Développement Economique du Bas-Rhin

 

Nous avons échangé nos impressions avec Vincent Froehlicher directeur général sur la situation actuelle du Groupe Coop. Nous avons exposé notre vision de l’avenir proposé par la Direction actuelle de la Coop et présenté notre proposition alternative.

 

La CRES – Chambre Régionale de l’Economie Sociale d’Alsace

 

Nous avons échangé nos impressions avec Frédéric Deck président et Pierre Roth délégué général sur la situation actuelle du Groupe Coop. Nous avons exposé la vision de l’avenir proposé par la Direction actuelle de la Coop et présenté notre proposition alternative. Nous espérons que le sujet de la sauvegarde du Groupe Coop puisse être éventuellement évoqué à l’ordre du jour d’un des prochains Conseil d’Administration de la Cres.

 

· Les banques

 

Nous avons rencontré des représentants des banques du pool bancaire en en-cours de crédit avec le Groupe Coop. Nous avons échangé nos impressions sur la situation actuelle du Groupe Coop. Nous avons évoqué notre vision de l’avenir proposé par la Direction actuelle de la Coop et présenté notre proposition alternative.

 

 

 

 

 

· Les syndicats

 

Nous avons rencontré à plusieurs reprises des représentants de tous les syndicats représentant les salariés du Groupe Coop. Nous avons échangé nos impressions sur la situation actuelle du Groupe Coop. Nous avons partagé notre vision de l’avenir proposé par la Direction actuelle de la Coop et présenté notre proposition alternative.

 

· Les gérants des magasins de proximité du Groupe Coop

 

Nous avons rencontré à notre initiative les gérants des magasins de proximité du Groupe Coop. Nous avons échangé nos impressions sur la situation actuelle du Groupe Coop. Nous avons partagé notre vision de l’avenir proposé par la Direction actuelle de la Coop et présenté notre proposition alternative.

 

· Les fournisseurs alsaciens des magasins du Groupe Coop

 

Nous avons rencontré à notre et à leur initiative des représentants des fournisseurs, entre autres de l’agro-alimentaire, des magasins du Groupe Coop. Nous avons échangé nos impressions sur la situation actuelle du Groupe Coop. Nous avons partagé notre vision de l’avenir proposé par la Direction actuelle de la Coop et présenté notre proposition alternative.

 

· Les maires, les conseillers généraux et régionaux

 

Nous avons rencontré à notre et à leur initiative des maires, des conseillers généraux et des conseillers régionaux. Nombre d’entre eux sont adhérents de notre association. Nous avons échangé nos impressions sur la situation actuelle du Groupe Coop. Nous avons partagé notre vision de l’avenir proposé par la Direction actuelle de la Coop et présenté notre proposition alternative, notamment sur l’aménagement du territoire et sur l’économie solidaire et sociale.

 

 

 

A ce jour, malgré notre demande et nos rappels, nous n’avons pas encore rencontré ni même eu de réactions à notre lettre ouverte de :

 

 

 

· Pierre-Etienne BISCH Préfet de la région Alsace, Préfet du Bas-Rhin

 

· Alain PERRET Préfet du Haut-Rhin

 

· Charles Buttner président du Conseil général du Haut-Rhin

 

· Roland Ries Maire de Strasbourg, Sénateur du Bas-Rhin

 

· Jean Rottner Maire de Mulhouse

 

· Jean Marie Bockel Président de Mulhouse Alsace Agglomération

 

 

 

 

 

 

 

Où en est le groupe Coop ? Et son devenir ?

 

 

 

La direction actuelle du Groupe Coop propose pour sortir le Groupe de la crise actuelle de créer :

 

 

 

· une entité rentable sous l’enseigne Leclerc propre aux Hypermarchés Rond-point et Supermarchés Leclerc Express sous forme de SA où serait majoritaire le Groupe Coop,

 

· une ou plusieurs entités concernant uniquement le foncier,

 

· une entité non rentable comprenant les 160 magasins de proximité, la plate-forme de distribution de Reichstett, la boulangerie et la boucherie-charcuterie, ….

 

 

 

La pérennité et la profitabilité de l’entité rentable n’est pas avérée. Cette nouvelle entité nous questionne sur trois points :

 

 

 

·

 

 

 

·

 

· Combien de temps le Groupe Coop pourra-t-il et surtout voudra-t-il rester majoritaire au sein de cette SA ?

 

· L’accord Coop-Leclerc n’a aucunement fait la preuve depuis 2008 de sa pertinence à redresser les Hypers et les Leclerc Express. Comment pourrait-il dégager et partager des bénéfices, promis, nous dit-on, aux 160 magasins de proximité. Ce qui n’a pas marché hier le pourra-t-il demain ?

 

· L’abandon des magasins de proximité n’est-il pas contraire à l’esprit coopératif qui rassemble les sociétaires depuis l’origine ?

 

 

 

La “proxi” c’est foutu

 

 

 

L’avenir de l’entité non rentable apparaît très sombre et pourrait, à assez court terme, connaître un destin funeste. Notre analyse, corroborée par les avis argumentés de nombreux professionnels, nous permet d’annoncer à très court terme – juillet 12, voire au plus tard décembre 12 ou année 13 – la fermeture de plus de la moitié des magasins de proximité. Le démantèlement du Groupe tel que proposé par la direction actuelle du groupe Coop ne permet pas la sauvegarde des magasins de proximité.

 

 

 

Les arguments énoncés sont des plans sur la comète :

 

 

 

· L’accord conclu avec Casino devrait permettre une marge supplémentaire de 10% nous dit-on, mais n’est pas comptabilisée la perte due au fait que les produits Casino sont de notoriété 10 à 20 % plus chers que dans les autres enseignes d’où une perte de clients annoncée,

 

· La rentabilité des magasins de proximité, déjà difficilement avérée lorsqu’ils étaient adossés au Hypers, sera donc nulle. Comment peut-on imaginer la pérennité de ces magasins ?

 

· La transformation des gérants actuels en mandataires-Coop est une étape prématurée et non étayée,

 

· Quels seront les salariés non gérants ou non mandataires qui feront partie du PSE annoncé ?

 

· Les magasins de proximité doivent être rajeunis, pour certains mis aux normes, avec quels fonds la direction actuelle promet-elle cette rénovation ?

 

· Si Casino fournit 80% des produits vendus, quels seront les débouchés pour les fournisseurs alsaciens – agro-alimentaire et autres – et pour la boucherie Coop ?

 

 

 

Le démantèlement du Groupe Coop signe à terme la fermeture des magasins de proximité, laissant à chaque collectivité en responsabilité – Etat, Région, Départements, Communautés de Communes, Communes – la charge de densifier le réseau de distribution alsacien par le subventionnement de chaque magasin de chaque village et de chaque quartier. Pour exemple, pour le remplacement de la Coop d’Hattmatt par un Vival by Casino, les subventions publiques – état, Région, Europe – ont été d’un montant de 200 000 €. Cela ne pourra jamais, vu les contraintes budgétaires actuelles, être reproduit sur une centaine de magasins.

 

 

 

 

 

Il reste encore des interrogations

 

 

 

Le bilan de l’action menée par l’Association Régionale de Soutien aux Coop d’Alsace est remarquable : nous avons rencontré en deux mois toutes les personnes et structures qui œuvrent à la sauvegarde du Groupe Coop. Néanmoins, nous soulignons qu’il reste des zones d’ombre que nous ne pouvons expliquer et des questions irrésolues.

 

 

 

· Les zones d’ombre

 

 

 

o Où en sont restés les rapports pourtant évidents avec la Fédération Nationale des Coopératives de Consommateurs ?

 

o Pourquoi aucun contact n’a été pris avec l’Alliance Coopérative Internationale – ACI ?

 

o Pourquoi un accord avec Leclerc a—t-il été choisi en dernière minute en 2008 alors qu’une négociation très poussée avec la Coopérative Système U était sur le point d’aboutir voire à la signature ?

 

o Pourquoi les sociétaires ont-ils été écartés de toutes les difficultés et spoliés de toutes les prises de décision engageant le Groupe Coop dans son avenir ?

 

 

 

· Questions irrésolues

 

 

 

o Scinder les hypers et les magasins de proximité et faire appel à deux distributeurs concurrents posent la question de la pérennité du Groupe. Il n’y a aucune synergie possible de développement. On peut légitimement se poser la question de savoir à qui va profiter ce paradoxe ?

 

o Quel accord est-il conclu pour l’achat et la distribution au niveau national des produits de la boucherie-charcuterie ? Sans développement, cette structure est condamnée à très court terme.

 

o Si la plate-forme de distribution de Reichstett distribue les deux entités – Hypers et Leclerc-Express d’un côté et magasins de proximité de l’autre – il faut que les produits Leclerc et les produits Casino soit cloisonnés dans un environnement étanche à l’un et à l’autre pour des raisons de concurrence. Double système informatique, double entrepôt, double quai de chargement, … Comment cette plate-forme dont la structure actuelle pose déjà d’énormes questions de rentabilité pourra dans cette nouvelle configuration être profitable ?

 

o L’attachement des alsaciennes et des alsaciens à l’Union des Coopérateurs d’Alsace à ses spécificités vont installer une défiance à l’enseigne Coop nouvellement proposée par la direction, comment a été pris en compte cette défiance en terme de perte de clientèle ?

 

o …

 

 

 

Un gâchis économique, un gâchis humain et un gâchis d’image

 

 

 

Cette affaire dépasse l’entendement. Tout le monde, en Alsace, semble “groggy” de la situation actuelle du Groupe Coop. Comment ce groupe centenaire, emblématique de l’âme alsacienne, incarnant les grands principes coopératifs, inscrit dans l’économie solidaire et sociale, devant rendre pérenne, outre la distribution, une partie du tissu économique et social alsacien, deuxième employeur privé d’Alsace, comment ce groupe centenaire a-t-il pu en arriver là et surtout comment n’a-t-il pas su partager ses difficultés avec ses sociétaires, les responsables économiques et les collectivités locales et territoriales ?

 

 

 

Il sera temps plus tard d’autopsier ce désastre. Il faut maintenant sauver ce groupe et ses 3 500 salariés directs, les 1 500 salariés indirects et les entreprises locales qui travaillent pour la Coop ; cette entreprise coopérative qui, rappelons-le : appartient collectivement à ses sociétaires : elle n’est ni “opéable”, ni cessible[1].

 

 

 

 

 

 

 

Il faut préserver et maintenir le maillage du territoire alsacien d’un service de distribution qui anime nos communes et nos quartiers, leurs populations de personnes âgées et également les nouveaux travailleurs pauvres dont la recrudescence est avérée.

 

 

 

Enfin, quel message l’Alsace, terre d’inventivité, va-t-elle envoyer alors que 2012 a été décrétée “année internationale des coopératives” ?

 

 

 

Conclusions : reste-t-il des solutions ?

 

 

 

L’Association Régionale de Soutien aux Coop d’Alsace, ses adhérents – citoyens, députés, sénateur, maires, conseillers généraux, conseillers régionaux -, ses présidents d’honneur Jean-Louis Christ et Armand Jung a su, représentée par l’engagement de Philippe Spitz – son président, et de Dominique Bézu – son vice-président, montrer le professionnalisme de sa démarche, le sérieux de ses analyses et de ses observations. Elle a su convaincre qu’elle était un interlocuteur déterminé, légitime et incontournable, saluée par certains pour ses propositions modernes et réalistes.

 

 

 

Tous les mots de ce texte sont pesés, leurs options validées par des responsables économiques, syndicaux ou politiques.

 

 

 

Les propositions qui suivent n’engagent, et nous en sommes fiers, que l’Association Régionale de Soutien aux Coop d’Alsace. Nous souhaitons que toutes les personnes raisonnables et concernées nous rejoignent dans ce projet innovant et moderne.

 

 

 

Liminaires

 

 

 

Les propositions qui suivent devront rencontrer l’adhésion de tous : sociétaires, salariés, syndicats, banquiers, fournisseurs, élus, collectivités locales et territoriales. Il n’est pas question que nos propositions soient à l’aune de celles faites lors du terrible événement récent, tristement célèbre, que représente SEA France.

 

 

 

Si nous nous battons pour cette formidable aventure c’est que nous sommes persuadés qu’il existe à l’heure actuelle une solution alternative. Celle-ci passe par un changement radical de plan de développement et de stratégie globale : nous proposons une solution pertinente, révolutionnaire et pragmatique.

 

 

 

Notre projet de sauvegarde tient en trois points. C’est uniquement par la concordance de ces nouvelles propositions qu’il a une chance d’aboutir.

 

 

 

1. Levons nous : c’est la révolution !

 

 

 

L’ensemble des acteurs alsaciens sont perturbés et assommés par cette histoire. Alors ! Soyons audacieux : souvenons-nous des idées qui ont conduits nos anciens à créer la Coop dans un esprit solidaire et coopératif. Servons nous de ce monde instable qui change douloureusement pour recréer des liens profonds et des aventures économiques viables et prometteuses.

 

 

 

Il faut que le Conseil d’Administration actuel du Groupe Coop, dans son ensemble, démissionne de ses fonctions. Le Conseil d’Administration actuel n’a pas su, à cause de son aveuglement et de son incompétence, mener à bien depuis 1999 les restructurations nécessaires au bon fonctionnement du Groupe Coop. Changeons-le !

 

 

 

Nous proposons qu’un nouveau conseil d’administration se crée avec la coopération réelle des sociétaires, la coopération réelle des salariés et avec le soutien des collectivités locales et territoriales. Nous proposons que ce nouveau Conseil d’Administration soit élargi aux fournisseurs locaux et aux banquiers coopératifs.

 

 

 

Nous demandons aux délégués des sociétaires, réunis le 3 mars 12 par le Conseil d’Administration de la Coop, de voter la défiance et de demander la démission du Conseil d’Administration actuel.

 

 

 

2. Une nouvelle coopérative

 

 

 

Nous proposons qu’enfin notre alternative à la mort de notre coopérative soit réellement étudiée, avec les moyens adéquats. La Société Coopérative d’Intérêt Collectif-SCIC est la solution que nous préconisons pour garder ce qui rassemble tous les acteurs autour de ce dossier et la pérennité de la belle Union des Coopérateurs d’Alsace.

 

 

 

· Faut-il une SCIC globale ou un ensemble de SCIC en réseau voire en fédération ?

 

· Qui seront les collèges de cette ou ces SCIC ?

 

· Quel plan d’apurement ce nouveau virage implique-t-il ?

 

· Quelles sont les forces vives et volontaires en présence ?

 

 

 

Pour répondre à ces questions, nous bénéficions, en Alsace et ailleurs, de services étoffés, structure très professionnelles et des femmes et des hommes de talents engagés pour étudier rapidement, efficacement et raisonnablement cette alternative et résoudre ces questions. Nous saurons alors si cette alternative est viable.

 

 

 

3. Des acteurs associés

 

 

 

Nous lançons un Appel aux sociétaires pour qu’ils se réapproprient leur propriété commune et qu’ensemble, ils sachent prendre les décisions recréant cet esprit solidaire, d’indépendance, de proximité, d’humanisme et de coopération. Ils sauront retrouver le chemin des Coop, densifiant ainsi le territoire pour que nos personnes âgées, nos voisins devenus pauvres, toutes personnes à mobilité réduite et aussi nos amis salariés de la Coop et notre porte-monnaie, bénéficient d’un mieux-vivre. Nous leur demandons également de signer la pétition de défiance au Conseil d’Administration du Groupe Coop avant le 17 juin 2012.

 

 

 

Nous lançons un Appel aux salariés, dont nous avons pu voir l’attachement véritable à leur enseigne, pour qu’ensemble, alors qu’ils ont été oubliés, nous modernisions ce magnifique outil.

 

 

 

Nous lançons un Appel aux fournisseurs locaux pour qu’ensemble, alors qu’ils ont été oubliés, cette belle idée de la solidarité et de la redistribution dans l’économie locale, faisant travailler entre autre l’agro-alimentaire et privilégiant les circuits courts, se rénove et contribue à la richesse de notre région.

 

 

 

Nous lançons un Appel aux banquiers et surtout aux banques coopératives. Nous connaissons trop leur esprit solidaire et leurs sociétaires communs à ceux du Groupe Coop seront à même d’apprécier une synergie mutualiste.

 

 

 

Nous lançons un Appel aux maires, conseillers généraux et régionaux pour qu’ils se rassemblent d’une manière œcuménique pour réfléchir à l’aménagement du territoire et aux soutiens aux catégories défavorisées de notre région. L’heure n’est plus au combat de chacun devant la sauvegarde de sa Coop mais de tous, ensemble, pour le bien-vivre de notre région.

 

 

 

Nous lançons un Appel aux alsaciens pour qu’ils rejoignent notre association, pour montrer leur force et qu’ils organisent devant chacune de leur Coop un Apéro’Coop, moment convivial et festif, citoyen et déterminé. Nous les appelons également à signer en masse la pétition ” Je veux que vive la coop ! Je soutiendrai la restructuration de la Coop.”

 

 

 

Pour finir…

 

 

 

En ce début de XXIe siècle, dans cette période où s’effectue un bouleversement total de notre monde économique et social, où aucunes solutions classiques ne semblent efficientes, nous affirmons que seule une voie originale et insolite saura sauver le Groupe Coop.

 

 

 

Le rassemblement des citoyens dans des organisations, mouvements, associations, syndicats est une condition nécessaire au fonctionnement de toute société civilisée bien structurée.

 

 

 

Vaclav Havel[2]

 

 

 

Retrouvant les fondamentaux de nos aînés, renouant avec l’esprit ” Raiffeisen”, développant l’esprit moderne de l’économie sociale et solidaire, le Nouveau Groupe Coop ne pourra exister qu’avec l’engagement total de tous les acteurs précités.

 

 

 

 

 

Un homme ne se mêlant pas de politique mérite de passer, non pour un citoyen paisible, mais pour un citoyen inutile.

 

 

 

Thucyde[3]

 

 

 

[1] Statuts de la Fédération Nationale des Coopératives de Consommateurs

 

[2] Dramaturge et homme d’État tchèque, (1936 2011)

 

[3] Historien grec (-460 -395)

 

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