N’est-ce pas Manuel [ne m’accorde pas cette] Valls…

Et si Olandéro ne le fait pas, place au peuple, place au Front de gauche!

Les législatives c’est les 10 et 17 juin…

Donnons une vraie majorité de gauche à ce gouvernement social-démocrate libéral, en votant massivement Front de Gauche.

Des associations réclament “le changement” sur l’immigration et l’asile

Extraits:

PARIS, 22 mai 2012 (AFP) – Des associations réclament mardi dans un
communiqué “le changement” de la politique publique d’immigration et d’asile,
soulignant que “le statu quo ne pourrait être compris que comme la volonté de
poursuivre la politique” de Nicolas Sarkozy sur le sujet.

[….]

Dans un communiqué commun, trois associations de solidarité (Coallia,
Fnars, France Terre d’Asile) demandent une nouvelle “politique d’accueil
fondée sur la solidarité”: “égalité de traitement”, “garantie d’un hébergement
et d’un accompagnement adapté”, “accès effectif et équitable à la procédure
d’asile”, “organisation territoriale équilibrée”.

[…]
Ces “principes essentiels” doivent accompagner un “pilotage différent” qui
ne se ferait plus “sous la tutelle du ministère de l’Intérieur”, intéressé par
“le seul prisme du contrôle et de la gestion des flux migratoires”, jugent les
associations.
“Le statu quo ne pourrait être compris que comme la volonté de poursuivre
la politique du précédent gouvernement en dépit des engagements pris pendant
la campagne électorale”, soulignent les organisations.
“La course aux chiffres continue” et “cette violence quotidienne (…) peut
briser définitivement une famille en 24 heures”, déplore dans un communiqué
distinct le Réseau éducation sans frontières (RESF).
RESF réclame “un moratoire concernant la rétention des parents, des
familles et des jeunes majeurs et leur expulsion”.

[…]
Le réseau évoque une famille thaïlandaise dont la mère, en France depuis 9
ans, a failli être expulsée mardi en laissant son mari, “atteint d’une
pathologie chronique”, et ses fillettes de 2 et 3 ans en France.

[…]

Selon l’organisation, l’expulsion a pu être stoppée grâce à la mobilisation
de proches, de parents et enseignants de l’école des fillettes, et d’élus du
XIXe arrondissement de Paris où vit la famille.