Une association récemment créée Les voix libres, composée de Français d’origine tunisienne et de Tunisiens a manifesté place Kléber contre le sort fait à Meryem, une jeune femme violée en Tunisie par des policiers, et qui a été trainée, elle, la victime, en justice!

Tunisie Les voix libres pour Meryem interview de Amani f2c_radio

De tels faits se déroulaient aussi sous le régime dictatorial de Ben Ali, mais faute de liberté de la presse, cela restait occulté.

Depuis le printemps tunisien la liberté de la presse ne permet plus à ces comportement odieux de se perpétuer sans que cela fasse scandale.