Dévoilement de plaque à la mémoire de Olga Bancic
Le jeudi 4 juillet, à 16h.30, nous serons présents lors du dévoilement par le Maire de Paris d’une plaque commémorative* à la mémoire d’Olga Bancic au 114 rue du Château, Paris 14e, lieu de son dernier domicile officiel connu.
* Texte de la plaque
Ici vivait Olga Bancic,
résistante F.T.P. M.O.I. de l’Ile de France, membre du groupe Manouchian
exécutée par les nazis à Stuttgart
le 10 mai 1944 à l’âge de 32 ans
morte pour la France et la Liberté.
L’Affiche Rouge et la photo d’ Olga radieuse, avec sa fille Dolorès. Toute une vie résumée sur ces deux panneaux
Celui pour qui le soleil ne brille plus
Il n’a plus besoin d’amour.
Combien de chagrins pleurent pour lui,
Il n’a pas besoin de le savoir.
Hommes, laissez les morts tranquilles
A vous appartient la vie
Chacun a bien assez à faire
A lever le bras et le regard.
Laissez les morts ils sont libres
Dans le sable humide.
Vous, sortez de l’esclavage,
De la misère et de la honte.
Un combat vaudrait-il des lauriers,
Epargnez à la mort ces cadeaux !
Mais reprenez l’épée du mort
Et menez son combat jusqu’à la fin.
Voulez-vous faire quelque chose de bien
Pour ceux que la mort a rencontrés.
Hommes, laissez les morts tranquilles
Et accomplissez leur espoir.
Erich MUHSAM.
Celui pour qui le soleil ne brille plus
Il n’a plus besoin d’amour.
Combien de chagrins pleurent pour lui,
Il n’a pas besoin de le savoir.
Hommes, laissez les morts tranquilles
A vous appartient la vie
Chacun a bien assez à faire
A lever le bras et le regard.
Laissez les morts ils sont libres
Dans le sable humide.
Vous, sortez de l’esclavage,
De la misère et de la honte.
Un combat vaudrait-il des lauriers,
Epargnez à la mort ces cadeaux !
Mais reprenez l’épée du mort
Et menez son combat jusqu’à la fin.
Voulez-vous faire quelque chose de bien
Pour ceux que la mort a rencontrés.
Hommes, laissez les morts tranquilles
Et accomplissez leur espoir.
Erich MUHSAM.
Celui pour qui le soleil ne brille plus
Il n’a plus besoin d’amour.
Combien de chagrins pleurent pour lui,
Il n’a pas besoin de le savoir.
Hommes, laissez les morts tranquilles
A vous appartient la vie
Chacun a bien assez à faire
A lever le bras et le regard.
Laissez les morts ils sont libres
Dans le sable humide.
Vous, sortez de l’esclavage,
De la misère et de la honte.
Un combat vaudrait-il des lauriers,
Epargnez à la mort ces cadeaux !
Mais reprenez l’épée du mort
Et menez son combat jusqu’à la fin.
Voulez-vous faire quelque chose de bien
Pour ceux que la mort a rencontrés.
Hommes, laissez les morts tranquilles
Et accomplissez leur espoir.
Erich MUHSAM.
Celui pour qui le soleil ne brille plus
Il n’a plus besoin d’amour.
Combien de chagrins pleurent pour lui,
Il n’a pas besoin de le savoir.
Hommes, laissez les morts tranquilles
A vous appartient la vie
Chacun a bien assez à faire
A lever le bras et le regard.
Laissez les morts ils sont libres
Dans le sable humide.
Vous, sortez de l’esclavage,
De la misère et de la honte.
Un combat vaudrait-il des lauriers,
Epargnez à la mort ces cadeaux !
Mais reprenez l’épée du mort
Et menez son combat jusqu’à la fin.
Voulez-vous faire quelque chose de bien
Pour ceux que la mort a rencontrés.
Hommes, laissez les morts tranquilles
Et accomplissez leur espoir.
Celui pour qui le soleil ne brille plus
Il n’a plus besoin d’amour.
Combien de chagrins pleurent pour lui,
Il n’a pas besoin de le savoir.
Hommes, laissez les morts tranquilles
A vous appartient la vie
Chacun a bien assez à faire
A lever le bras et le regard.
Laissez les morts ils sont libres
Dans le sable humide.
Vous, sortez de l’esclavage,
De la misère et de la honte.
Un combat vaudrait-il des lauriers,
Epargnez à la mort ces cadeaux !
Mais reprenez l’épée du mort
Et menez son combat jusqu’à la fin.
Voulez-vous faire quelque chose de bien
Pour ceux que la mort a rencontrés.
Hommes, laissez les morts tranquilles
Et accomplissez leur espoir.
Voulez-vous faire quelque chose de bien
Pour ceux que la mort a rencontrés.
Voulez-vous faire quelque chose de bien
Pour ceux que la mort a rencontrés.
Hommes, laissez les morts tranquilles
Et accomplissez leur espoir.
Erich MUHSAM.