C’est un combat quotidien que mène Véronique Decker, directrice d’une école primaire en Seine-Saint-Denis, auprès de la trentaine d’élèves roms, roumains et bulgares. Un combat pour la scolarisation de ces enfants vivant souvent dans la misère des bidonvilles. Et contre la xénophobie qui peut se répandre dans la cours de récréation. « Quand un enfant dit à ses parents qu’il veut aller à l’école et ne plus mendier, il est très fréquent qu’il soit écouté », explique-t-elle au journal L’âge de faire, qui l’a interviewée. Comment l’école, malgré les critiques, joue encore un rôle contre la pauvreté et le racisme.

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