« Ils nous reprochent d’être vivants … mais bon sang ! Cette accusation est forgée de toutes pièces ! » L’amertume sarcastique de cette remarque écrite par Mohamed Abou Shar, un citoyen gazaoui, résume le désespoir accumulé par le manque d’accès aux nécessités basiques de la vie à Gaza, victime d’un blocus économique depuis 2006. Même les voies existantes aux biens essentiels ont été fermées.

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