| CISA |
Comité international de soutien au syndicalisme autonome algérien 21 ter, rue Voltaire, 75011 Paris (France) |
COMMUNIQUÉ
Solidarité avec les jeunes révoltés d’Algérie et de Tunisie
Paris, le 9 janvier 2011
En Algérie et en Tunisie, la situation sociale se tend dramatiquement, révélant à l’opinion mondiale la profondeur du désespoir de jeunesses écrasées par des dictatures parmi les plus répressives de la planète. L’écœurement de larges catégories de populations, privées de droits et de perspectives par des régimes corrompus, s’exprime par des suicides, des émeutes et la destruction de symboles d’États policiers.
Face aux revendications de leurs jeunesses, les dictatures algérienne et tunisienne opposent une répression sanglante. Et la violence qui se déchaîne contre la jeunesse bénéficie de la complicité des gouvernements occidentaux et des habituels donneurs de leçons démocratiques, silencieux ou se cantonnant à de très timides manifestations de « préoccupation ». Cette complicité avec des régimes criminels est inacceptable. Elle disqualifie ceux qui prétendent défendre les droits de l’homme en Chine, en Iran ou au Vénézuéla, tout en soutenant avec constance, depuis des décennies, ces deux régimes maghrébins qui, sous des formes différentes, ont adopté le modèle néolibéral autoritaire, marqué par l’arbitraire et l’exclusion.
Ce modèle a pour effet de structurer les inégalités, de précipiter des catégories entières de travailleurs dans la précarité et de généraliser la misère. Les jeunes Algériens et Tunisiens, pour la plupart d’entre eux, n’ont d’autre avenir que le chômage ou l’exil. Leur combat contre l’oppression, pour la liberté et la démocratie est le combat de tous ceux qui aspirent à un monde meilleur.
Le Comité international de soutien au syndicalisme autonome algérien (CISA) appuie leurs revendications et leur volonté de changement.
Le CISA se tient résolument aux côtés des forces sociales de progrès en Tunisie et en Algérie. Leur combat est le nôtre.
Le CISA soutient toutes les initiatives de solidarité avec les peuples algériens et tunisiens.
Vive la jeunesse algérienne et tunisienne !
Vive la liberté et la justice !
comme Dewinter et Wilders dans l’entité sioniste…(la civilisation soi-disant “judéo-chrétienne” contre l’Islam!)
les croisés de l’Occident (ne vaincra pas!)
festina lente
Donc on ne fait rien, on laisse tout en plan et on fait comme si on avait rien vu.
Chacun chez soi avec ses casseroles et les vaches seront bien gardées. CQFD
Selon Jean Yves Camus , politologue au Centre européen de recherche sur le racisme et l’antisémitisme, des membres d’«Unité radicale», les identitaires, se rendent fréquemment en Iran et en Libye.
Le Suisse Ahmed Huber possède des liens avec le Muslim Institute de Londres, une organisation intégriste qui ressemble fort à une émanation des services iraniens.
Sur Ahmed Huber : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ahmed_Huber
Idem pour la Hongrie, où existe une importante communauté juive. L’extrême Droite antisémite y est une force politique importante : un groupe paramilitaire, Magyar Garda, et surtout un parti représenté au Parlement européen, Jobbik, qui rassemble 14 % des voix.
Ce parti , dont le représentant Gábor Vona défilait le 11 septembre 2010 avec ses amis propalestiniens contre l’offensive de Tsahal à Gaza..
Des exemples comme celui là , il y en a plein en europe !!
Shlomo, Je peux me tromper mais j’ai l’impression que vous n’étiez pas le destinataire de ce message.
Certains colons juifs israéliens radicaux ont plus de liens que l’ on ne veut ( de Rameau?) toujours le croire avec la droite extrême!
Certains musulmans radicaux ont plus de liens que l’ on ne veut toujours le croire avec la droite extrême!
des ordres maintenant?
on n’est pas à l’armée!
et Israël a reçu les islamophobes européens Dewinter et Wilders…
c’est la “diplomatie”!
Ouvre ça et va directement à la photo :
http://droites-extremes.blog.lemonde.fr/2010/04/14/lambassadeur-diran-a-la-rencontre-de-lextreme-droite-radicale/
l’ami de la classe ouvrière ?
Marx et Spinoza je suppose. J’en reviens à Lordon et à la fin de son dernier livre où il remet en cause la critique marxienne de l’extraction de la plus-value. Je vous parle de cela en passant, je suis un peu pressé par le temps. Pour faire court, les auteurs qui se frottent à une nouvelle théorie de l’émancipation ne sont pas légion. C’est assez rare pour le souligner et pour s’y pencher. En espérant que d’autres daignent développer… si ils le souhaitent…
ah, Spinoza, c’est mon préféré
oui, jusqu’à présent, les riches gagnent , mais (comme dit une chanson de la Commune) gare à la revanche, les mauvis jours finiront…; je peux vous la chanter…en entier
“vers une nouvelle des classes? Oui, mais il n’y a plus que les riches qui la mènent. C’est pourquoi, jusqu’ici, ils ont gagné.”
C’est dans le dernier numéro de la revue Eléments, en fin d’un article. A. de Benoist a repiqué cette conclusion d’un autre auteur, à vous de chercher Monsieur Timeo Danaos et dona ferentes. Je suppose que vous n’avez rien d’autre d’intéressant à dire. Je remarque que le site de “la droite strasbourgeoise” peuvent évoquer, voir se fonder sur les analyses de Jacques Sapir et d’Emmanuel Todd pour dresser un tableau de la situation actuelle.
En conséquence de quoi, pour faire court, si vous désirez gagner la « guerre sociale », il est est peut être préférable de gagner la bataille des idées. Non ridere, non lugere necque detestari sed intelligere ! Nest-ce pas? Se lancer dans la production de sarcasmes improductifs n’est pas en soi un facteur de progrès.
????
Faudra penser à l’envoyer au courrier des lecteurs de la revue que vous lisez depuis quinze ans. Son nom m’échappe …
Pour une fois un tract syndical pas chiant, net et carré, j’applaudis.