
A trois mois des élections présidentielles, le parlement s’apprête à voter une nouvelle loi mémorielle assortissant de sanctions pénales la négation du génocide de 1915 en Anatolie. Les personnes dont les noms suivent tiennent à mettre en garde les élus et l’opinion publique contre une démarche dont les motifs électoralistes sont tristement évidents.